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Après avoir consulté notre guide d’achat » tout ce qu’il faut savoir avant d’acheter un sur-matelas », vous vous demandez comment entretenir un surmatelas, ou comment nettoyer et désinfecter un matelas ? Quels produits utiliser pour éliminer les taches ? Comment prolonger la durée de vie de votre literie, et quand faut-il la remplacer ? Voici les réponses à vos questions.
Nettoyer son surmatelas
Quelques astuces
Idéalement, commencez le nettoyage du surmatelas en début de journée, afin qu’il soit sec au moment du coucher. Lorsque vous utilisez des produits ménagers, enfilez des gants et un masque, puis ouvrez les fenêtres pour aérer la pièce. Imprégnez une éponge ou un chiffon du produit utilisé comme détachant de matelas. Puis frottez délicatement la tache sans l’étaler. Rincez ensuite avec un linge imbibé d’eau, et retirez l’humidité avec une serviette absorbante. Laissez sécher le surmatelas.
Le bicarbonate, ou la terre de Sommières, doivent être répandus directement sur la tache. Laissez agir, frottez avec une brosse souple, et passez l’aspirateur pour enlever les résidus.
Réitérez les applications jusqu’à disparition des traces. Pensez également à aspirer régulièrement la surface de votre matelas, pour lutter contre les acariens.
À chaque tache son produit
Comment retirer de l’urine sur un matelas ? Pour nettoyer un matelas taché d’urine du chat ou du pipi de votre enfant, répandez du bicarbonate de soude. Complétez le nettoyage à l’aide de vinaigre blanc, voire d’ammoniaque pour une tache plus difficile à éliminer.
Comment détacher du sang d’un matelas ? À l’aide d’ammoniaque dilué ou de vinaigre blanc.
Pour nettoyer un surmatelas jauni par la transpiration, ou enlever une auréole sur un matelas, il faut nettoyer son matelas à la terre de Sommières. Si cela ne suffit pas, il faudra utiliser de l’eau oxygénée. Vous pouvez également enlever une auréole au bicarbonate de soude.
Comment enlever une tache de vomi ? Retirez rapidement le vomi, et répandez du bicarbonate de soude pour désodoriser le matelas. Pour compléter le lavage du surmatelas, utilisez une solution de vinaigre blanc et d’eau. Une fois la surface sèche, pulvérisez un peu d’alcool à brûler, utilisé comme désinfectant de matelas.
Éliminer les moisissures
Si les traces de moisissure ne sont pas anciennes, nettoyez-les avec du vinaigre blanc ou du bicarbonate de soude (après les avoir humidifiées). Les traces plus tenaces requièrent l’utilisation d’ammoniaque diluée avec un soupçon d’eau. L’eau oxygénée est également efficace, car elle permet une décoloration des traces. Comme alternative naturelle, utilisez du borax dilué (la moitié d’une tasse de poudre pour deux tasses d’eau chaude).
Protéger son surmatelas
Grâce à un matelas ou un sommier
Poser son surmatelas directement au sol empêche l’air de bien circuler, et favorise les moisissures. Vous inhalez en outre plus de poussières, ce qui est également néfaste pour votre santé. En plus des problèmes d’hygiène et de confort, votre surmatelas posé au sol s’usera plus vite. Un surmatelas vient en complément d’un matelas, il convient donc de le poser dessus. Quant au matelas, il doit reposer sur un sommier.
Avec un linge de lit adapté
Le surmatelas protège le matelas, et une alèse va préserver le surmatelas lui-même. Cette housse de protection fait barrière à l’humidité et à la poussière. Il en existe plusieurs, aux performances différentes selon la matière ou les traitements reçus.
Choisir un surmatelas de qualité
Si vous avez choisi un matelas inadapté, le surmatelas apportera plus de confort. Pour un matelas trop dur, que faire ? Achetez un surmatelas plus mou pour compenser, tout en gardant un bon maintien. Testez vous-même votre surmatelas avant de l’acheter, pour voir s’il vous convient.
Veillez à choisir un sur-matelas aux dimensions de votre matelas c’est à dire qu’il vous faudra vérifier l’épaisseur c’est à dire la hauteur, la largeur et la longueur, laquelle peut être différente selon le fabricant. Si la largeur du matelas est souvent un standard parmi tous les fabricants, on constate régulièrement des variations de longueur entre fabricants. Ne sous-estimez pas cette étape en faisant le choix de prendre un sur-matelas plus petit que votre matelas par défaut, un surmatelas 140×190 pour matelas 140×195 par exemple. Vous risquez de ressentir à moyen terme des douleurs dû au manque de soutien de certaines parties du corps. Autre point, il peut être en revanche intéressant d’opter pour des sur-matelas individuels si votre chère moitié est du genre à faire des combats de boxe toutes les nuits.
Un sur-matelas de bonne qualité doit proposer une épaisseur minimum de 5 cm, sachant que la moyenne des gammes actuelles oscille entre 5 et 6 cm d’épaisseur. Au-delà de l’épaisseur il est important de vérifier les capacités de maintien de la structure de votre sur-matelas, assurez-vous de la présence de sangles de maintien sur les 4 angles du sur-matelas. Celles-ci permettront d’arrimer le sur-matelas sur votre matelas de manière ferme. Les sangles peuvent être réglables ou élastiques, assurez-vous que leurs matières soit suffisamment solides pour durer dans le temps et résister aux contraintes des mouvements nocturnes.
Enfin, dernier gage de qualité, vérifier la qualité de la housse de votre sur-matelas, celle-ci doit-être idéalement en Jersey 100% coton avec une technologie permettant une bonne respirabilité. Les fabricants présentent régulièrement de nouvelles technologies composées de fibres naturelles ou de matières aux propriétés thermo-régulantes. L’objectif étant de gérer au mieux la transpiration nocturne du dormeur quelque soit la saison.
Quand changer sa literie ?
Si vous avez respecté tous ces conseils pour bien choisir et entretenir votre surmatelas, vous aurez mis toutes les chances de votre côté pour prolonger sa durée de vie.
Toutefois, viendra le moment où il faudra le changer. On conseille en moyenne de remplacer son matelas au bout de dix ans. Mais la durée de vie varie en fonction de plusieurs éléments, et d’abord de sa qualité. Vous constaterez à son usure, si le moment est venu de le remplacer. Le manque d’entretien va d’ailleurs l’user plus rapidement. L’évolution de votre poids, ou de votre santé, peuvent également nécessiter un changement de surmatelas. Enfin, si vous changez de taille de matelas pour un matelas deux personnes en 140 x 190 cm (par exemple), il faudra acheter un surmatelas 140 x 190 (de même dimension).
Grâce à ces conseils pour bien entretenir votre surmatelas, son nettoyage n’a désormais plus de secrets pour vous, et vous connaissez les bons gestes pour le protéger.
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Aménager une chambre étroite est un véritable casse-tête au premier abord. Pourtant, avec quelques principes simples à connaître, vous allez pouvoir détourner l’attention de ces longs murs, et casser l’effet couloir qu’ils produisent. Quel que soit votre projet de chambre (aménagement d’une chambre adulte, d’une petite chambre d’ado, ou d’une chambre bébé en longueur), il existe des solutions pour aménager une pièce étroite. Voici quatre astuces pour optimiser l’espace de votre chambre en longueur.
1. Exploiter la hauteur d’une pièce en longueur
Comment aménager une pièce en longueur, comme une chambre traversante ? Pour contourner l’effet couloir créé par la longueur de la pièce, exploitez sa hauteur. Mais attention à ne pas aligner des meubles de même hauteur, au risque de renforcer cet effet. Diversifiez votre mobilier : éléments bas, placards muraux, etc. Vous pouvez ainsi fixer sur un petit mur des éléments hauts (étagères, boxes, niches, …), pour obtenir des rangements supplémentaires. Ces éléments pourront même se fondre dans le décor, si vous les choisissez de la même couleur que le mur auquel ils sont suspendus.
Il est aussi possible d’utiliser toute la hauteur d’un mur pour installer un dressing dans votre chambre étroite. Concernant le couchage, vous pouvez choisir un lit surélevé (type lit plateforme, lit podium, ou lit estrade). Le choix du mobilier étant déterminant, reportez-vous à nos conseils dédiés, exposés sous l’astuce n°3.
Vous pouvez également installer diverses suspensions : luminaires originaux, décorations murales, ou longs rideaux, par exemple. Exploitez l’espace vers le haut, sans pour autant le surcharger, au risque que la pièce devienne étouffante. L’idée est d’attirer l’œil sur quelques éléments de la chambre installés en hauteur, ou au plafond. Cette astuce permet de déjouer l’effet couloir. Pour aménager votre chambre rectangulaire la moins large, vous pouvez par ailleurs travailler sur la profondeur, en ajoutant quelques miroirs.
2. Aménager une chambre étroite avec les bonnes couleurs et matières
Une autre astuce pour s’affranchir de la longueur consiste à jouer avec les matières, en associant divers revêtements muraux notamment (peinture, papier peint, plaquette de parement, etc.). Deux murs qui se font face peuvent ainsi revêtir des matières distinctes. Cela permet de créer différents espaces au sein de la chambre.
Dans une chambre rectangulaire, quel mur peindre en foncé ? Pour élargir une pièce visuellement grâce à la couleur, privilégiez des teintes claires et douces sur les murs en longueur. Les tons foncés ou vifs, ainsi que les motifs extravagants, conviendront mieux aux petits murs. En effet, la clarté confère un sentiment d’espace, alors qu’une teinte sombre aura tendance à le réduire. Le fait de jouer avec les couleurs et les textures permet de redéfinir visuellement les volumes. On obtient ainsi l’illusion d’une chambre mieux proportionnée.
Outre la couleur des murs, celle de la décoration a également son importance. Harmonisez votre literie avec les teintes choisies pour vos murs. Si vos murs sont peints en écru, privilégiez une literie claire. Si vos petits murs sont colorés, vous pouvez disposer sur votre lit des coussins de la même couleur, aux nuances différentes. Placez quelques plantes et objets décoratifs ici et là, sans en faire trop, pour mettre en valeur votre chambre à coucher. Vous attirez ainsi le regard sur ces éléments, plutôt que sur la longueur des murs.
Pour redonner un certain équilibre à la pièce, notamment à une suite parentale en longueur, vous pouvez poser une verrière.
3. Choisir du mobilier adapté pour optimiser l’espace
Pour bien aménager une chambre en longueur, le défi consiste à garder suffisamment de place autour des meubles, et notamment du lit, pour circuler. Il faut donc optimiser l’espace ; le choix de votre mobilier devra se faire en cohérence avec la surface de la pièce. N’encombrez pas l’espace avec un lit trop grand pour votre chambre. Votre chambre de 2 m de large ne vous permet pas de placer plusieurs meubles ? Optez pour du mobilier malin : un lit avec un rangement en-dessous, ou une tête de lit sur mesure avec des niches, par exemple.
Pour l’aménagement d’une petite chambre en général, évitez le mobilier trop imposant, ou dont la couleur/le matériau renforce cette impression. Préférez des meubles plus discrets et légers, plutôt simplistes, aux teintes claires, voire avec des éléments transparents. En effet, on cherche à garder la lumière dans la pièce, pour obtenir une sensation d’espace, grâce à un aménagement aéré et épuré. Dans la même optique, évitez les textiles épais comme le velours, favorisez plutôt des tissus légers. Dans une petite chambre, plutôt armoire ou commode ? La commode occupera moins d’espace, et dans une chambre en longueur, préférez généralement les meubles bas.
Autre solution : si vous peinez à dénicher l’armoire idéale, créez un dressing avec des meubles de rangement hauts, mais peu profonds. Concernant la couleur et les matériaux des façades de votre dressing, les mêmes principes s’appliquent : tons clairs (ou matière transparente), surface lisse (voire laquée), ou textiles fins.
4. Miser sur l’éclairage d’une chambre en longueur
Une chambre étroite et longue n’implique pas de vous contenter d’un seul éclairage de la chambre au plafond. Au contraire, multiplier les sources de lumière contribue à « agrandir » la pièce. La lumière de la chambre doit en effet suffire à couvrir tous les espaces, pour éviter de laisser des coins sombres. Comme pour les meubles, ne choisissez pas des lampes trop imposantes, et préférez des supports discrets, notamment pour une lampe de chambre sur pied.
Des luminaires accrochés à la tête de lit remplaceront la classique lampe de chevet pour lire au lit, et un miroir pourra être habillé de petites lumières. Vous pouvez aussi installer un éclairage de chambre avec des spots ou une suspension au plafond, et opter pour un élégant lampadaire à poser. Si vous cherchez l’originalité, un balisage lumineux sur le sol ou le long des plinthes, peut produire un bel effet.
Chaque lampe viendra apporter un type de lumière différent ; c’est l’intérêt de diversifier les sources lumineuses et leur emplacement. Les possibilités sont nombreuses, mais encore une fois, veillez à ne pas en faire trop.
À l’aide de tous ces conseils, n’hésitez pas à réaliser un plan de votre chambre, pour vous faire une idée du résultat. Vous avez à présent toutes les clés pour bien aménager une chambre étroite, et redéfinir l’espace.
Que ce soit une cuisine, une salle de bains ou un salon, une pièce étroite ou en longueur, nous avons souvent l’envie de pousser les murs. Quels aménagements choisir pour son dressing et quelles sont les possibilités d’agencement ? Si vous ne disposez pas de suffisamment d’espace, comment adapter vos meubles de rangement à votre intérieur ? Découvrez les règles à suivre pour conserver cette impression d’espace et composer votre meuble rangement et dressing.
1. Les différents types de dressing
Pour ranger ses vêtements, il est essentiel de choisir le dressing qui vous conviendra. Comment choisir l’aménagement adapté à vos besoins ? Faisons le point sur les différents types de dressing.
Les types de dressing
Le kit-dressing s’accorde à presque tous les espaces.
La pièce dédiée est idéale si vous avez un grand logement.
La penderie est la solution pour ranger vos manteaux dans l’entrée ou si vous disposez d’un petit espace.
Le dressing intégré dans votre chambre est recommandé si vous disposez de peu de surface.
La différence entre un dressing et un placard
Nous confondons souvent le dressing et du placard. Un dressing est un espace de rangement pour les vêtements assez spacieux pour pouvoir vous y habiller. Un placard permet simplement de regrouper vos habits.
Les différentes formes de dressings
Il existe trois principales formes de dressing : sur deux ou trois pans de mur et face à face. Cela va dépendre de la surface disponible chez vous.
Une autre idée du rangement
Aujourd’hui, avoir un dressing chez soi permet de ranger vos vêtements de manière simple et efficace. En effet, les atouts de cette organisation sont multiples : gain de temps et de place, convivialité, durée de conservation des habits. C’est l’art d’aller à l’essentiel tout en faisant circuler l’énergie.
2. La taille et la forme du dressing
Taille et forme du dressing
Pour déterminer la forme de votre dressing, cela va dépendre de la surface disponible dans votre logement. Si vous disposez d’un espace réduit, vous pourrez seulement placer un placard entre vos murs, tout en optimisant la zone disponible.
Au contraire, si vous avez un espace plus vaste, vous pourrez choisir de faire un rangement en « L », sur deux pans de mur, ou en « U », sur trois pans de mur. Vous pouvez également prévoir de disposer deux meubles, l’un en face de l’autre, afin de séparer les affaires de chaque membre de votre famille.
Enfin, un îlot central permettra de ranger davantage de vêtements.
De quel espace disposez-vous ?
Vous allez déterminer votre espace disponible en fonction de trois critères :
La zone d’aménagement disponible : un placard, une pièce dédiée ou un mur.
Les dimensions : la longueur, la largeur et la hauteur de l’espace.
L’angle d’aménagement : un seul pan de mur, deux murs côte-à-côte ou face à face.
L’organisation générale d’un dressing
Pour un espace optimisé, vous allez organiser le rangement de vos vêtements selon leur utilisation. En haut, vous rangerez les habits hors-saison ou vos bagages. Au milieu et accessibles facilement, vous conserverez les vêtements de tous les jours. En bas, vous placerez les accessoires que vous utiliserez moins souvent.
Les éléments indispensables pour bien ranger
Pour trouver rapidement les affaires dont vous besoin, certains éléments sont incontournables :
les étagères pour ranger les hauts et les vêtements qui ne se froissent pas facilement,
les penderies pour les vêtements longs, les robes ou les habits qui sont à repasser,
les tiroirs pour les sous-vêtements, les chaussettes et les accessoires,
les espaces pour les chaussures.
Vous pouvez également prévoir un banc ou une chaise pour vous habiller plus facilement. Par ailleurs, un miroir se révèle également indispensable.
Enfin, pensez à l’éclairage, naturel ou artificiel.
Quelle taille pour votre penderie ?
La penderie est un élément essentiel de votre dressing. Il faut la choisir selon les vêtements que vous possédez et notamment, les manteaux, les robes et les chemises.
Pour déterminer la taille de votre penderie, vous pouvez prévoir une hauteur de 110 cm pour les chemises, 130 cm pour les robes et 170 cm pour les manteaux.
Une largeur d’un mètre permet d’insérer environ dix pièces.
Il existe également la possibilité d’envisager un aménagement sur-mesure, consultez notre article sur les meubles sur mesure.
3. L’aménagement de votre dressing
La composition du dressing
Votre dressing est composé de trois types de rangements : les étagères, les tiroirs et la penderie. Ces éléments sont à combiner afin de maximiser les espaces et pour être certain.e de ranger vos affaires efficacement.
Le nombre d’étagères et de tiroirs
Pour déterminer le nombre d’étagères et de tiroirs, vous allez faire un inventaire de vos affaires. Il vaut mieux en effet prévoir plus que pas assez. Pour les étagères, un espace de 50 cm entre chacune est un bon compromis. Pour les tiroirs, une hauteur minimum de 10 cm est recommandée.
Les accessoires indispensables pour une organisation efficace
Votre dressing est composé de trois types de rangement : les étagères, les tiroirs et la penderie. Ces éléments sont à combiner afin de maximiser les espaces et pour être certain.e de ranger vos affaires efficacement.
Les rangements malins pour le dressing
Du côté des accessoires malins, vous pouvez retrouver des éléments assortis, qui feront de votre dressing un bel espace de décoration où vous aimerez passer des heures. Vous pouvez ainsi choisir des paniers, des séparateurs de tiroirs, des portes-cintres coulissants ou encore des boîtes de rangement.
Fonctionnant grâce à des diodes électroluminescentes – DEL ou LED en anglais pour Light Emitting Diode – les éclairages LED sont une solution parfaite pour laisser libre cours à ses envies côté luminaire. Du besoin simple d’éclairer une pièce ou un plan de travail aux aspirations plus décoratives, ampoules LED, rubans LED, spots LED, néons LED ou encore bandeaux LED s’utilisent aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur de la maison. Composés d’une multitude de petites diodes accolées les unes aux autres, les éclairages LED se déclinent en formes, couleurs et intensités variées. Aussi esthétiques qu’économiques, ils consomment jusqu’à 90% de moins que les ampoules à incandescence et ont une durée de vie comprise entre 30 000 et 100 000 heures. A ce sujet, consultez notre article » Eclairage et économie d’électricité ».
Quel éclairage LED choisir ?
Pour illuminer une pièce de la maison, sublimer un meuble ou installer une ambiance feutrée dans un jardin, vous avez le choix entre différents types d’éclairages LED.
Éclairages fixes ou orientables, avec ou sans contrôleur d’intensité :
les ampoules LED. Des formes classiques de globe aux formes plus originales de cœur ou de torsade, elles sont beaucoup moins énergivores que les ampoules à incandescence ;
les lampes LED. Ce terme définit les ampoules LED à intensité variable ;
les spots LED ou plafonniers LED, éclairages encastrables dans un faux plafond pour une finition soignée.
Éclairages souples ou rigides vendus au mètre :
les rubans LED. Très prisés en décoration, les rubans LED servent aussi bien pour éclairer une zone précise, comme un plan de travail ou des étagères, que pour sublimer un détail d’un meuble ou d’un aménagement extérieur.
les bandeaux LED. Ce sont des rubans LED protégés par une enveloppe qui les rend étanches donc particulièrement adaptés pour une utilisation outdoor.
Quelle nuance de blanc choisir en fonction de la pièce de la maison ?
Spot encastrable, plafonnier, ruban zigzag, néon, ampoule barrette, bougie, bulbe, goutte, globe, réflecteur, tube… Les formats de LED permettent de s’amuser et de mettre du fun dans son intérieur. Les nuances de blanc aussi ! Blanc chaud, blanc neutre ou blanc froid : on choisit son éclairage LED en fonction de l’ambiance voulue et du confort visuel attendu, déterminés par la température de couleur, exprimée en Kelvin (K).
Échelle de température des couleurs LED :
blanc chaud, lumière « jaune orangé » : entre 1 000 K et 3 500 K environ.
Lumière douce, idéale pour les pièces de vie comme le salon ou la chambre à coucher, ou en extérieur sur les terrasses et vérandas pour des ambiances tamisées.
blanc neutre ou blanc lumière du jour : entre 3500 K et 6500 K environ.
Éclairage proche de la lumière naturelle, ce qui le rend parfait pour les pièces comme la salle de bains ou la cuisine.
blanc froid, lumière « bleue » : dès 6500 K et plus.
Lumière franche convenant particulièrement aux bureaux, ateliers, garages et aux lieux de passage.
Transformateur LED et éclairages basse tension
Petit rappel. Électriquement, une habitation est alimentée en 220 Volts. Or, certains éclairages LED sont basse tension. Pour ces éclairages-là, il convient d’utiliser un transformateur LED, aussi appelé driver LED ou alimentation LED, un appareil qui transforme le courant alternatif 220V de la maison en courant continu 12V par exemple.
Pour savoir quel transformateur choisir, il faut connaitre la puissance totale de son installation. Deux méthodes de calcul :
additionner les puissances de toutes les ampoules composant l’éclairage,
calculer la valeur de la puissance de son ruban ou bandeau LED en additionnant la puissance de chaque mètre utilisé.
Choisissez ensuite le transformateur LED dont la puissance (en Watt) est la plus proche de celle de votre installation, en prenant toujours la puissance au-dessus au résultat obtenu.
Comment installer un éclairage LED ?
La première chose à faire avant de vous lancer dans l’installation d’un éclairage LED est de mettre hors tension le circuit électrique de la maison. Dans une pièce comme la salle de bain, veillez à respecter la norme électrique NF C15-100.
Installer une ampoule LED ou une lampe LED chez soi.
Il suffit d’enlever l’ampoule à incandescence de son emplacement et de la remplacer par une ampoule LED.
Installer un ruban LED chez soi.
Brancher le contrôleur à la batterie ou à l’alimentation électrique et positionner le ruban comme souhaité sur son emplacement. Utiliser des connecteurs pour relier les différents métrages de ruban entre eux si nécessaire.
Installer un spot LED encastrable chez soi.
Après avoir marqué au crayon l’emplacement du futur spot, percer le faux plafond à l’aide d’une scie cloche. Poser l’éclairage LED dans son emplacement en veillant à laisser un écart d’au moins 10 cm entre le plafond et le spot afin d’éviter tout risque de chauffe avec l’isolant. Raccorder les fils électriques (phase et neutre) aux bornes à vis du transformateur. Relier le transformateur au spot. Clipser le spot dans son support et fixer l’éclairage au plafond. Plus de conseils dans notre artcicle: « Encastrer un spot halogène dans un plafond »
Vous êtes bricoleur mais ne pensez pas toujours à vous protéger en bricolant ? 65% des Français sont dans le même cas que vous d’après une enquête réalisée par la société Bricozor en 2019. Pourtant, la majorité des personnes interrogées déclare dans la même enquête s’être déjà blessée en bricolant. Bricoler ne s’improvise pas et impréparation ou équipement inadapté peuvent être des facteurs de risque. Comment les éviter ? Voici nos conseils pour bricoler en toute sécurité.
Se protéger en anticipant : les précautions à prendre
Bricoler ne doit pas se faire au pied levé et limiter les risques nécessite de la préparation et de l’anticipation. Il est important que vous définissiez précisément les travaux à entreprendre afin de sélectionner l’outillage requis en conséquence, sur les conseils d’un professionnel si besoin. Organisez ensuite votre espace de travail. Retirez les meubles qui pourraient gêner vos travaux ou encore vérifiez votre installation électrique.Quelques précautions restent de mise avant de passer à l’action. Ne vous précipitez pas et assurez-vous que votre outillage soit bien entretenu. Exercez-vous ensuite sur de menus travaux de bricolage avant de vous lancer dans des projets de grande envergure. Vous pouvez ainsi rejoindre une association de bricolage pour apprendre les bonnes pratiques au contact d’autres passionnés ou encore suivre des tutoriels sur internet.
Une bonne préparation requiert également une appréhension des risques différés liés au bricolage. Si certaines blessures sont immédiatement identifiables, des contusions aux brûlures, d’autres sont insidieuses et présentent un danger à long terme. Des projections de fibres de bois, poussières ou particules de métal peuvent ainsi endommager les voies respiratoires. Quant à l’utilisation prolongée d’une meuleuse, scie circulaire ou défonceuse, elle peut mener à des déficiences auditives. Pour s’en prémunir, il est primordial de s’équiper avec un matériel approprié.
Se protéger pendant le bricolage
Les causes de blessure pendant le bricolage sont nombreuses mais elles peuvent dénoter un défaut d’équipement adapté. Bien s’équiper est pourtant indispensable pour bricoler en toute sécurité. A chaque situation correspond un équipement adéquat:
Lunettes de protection : protègent des éclats mais aussi des projections pouvant endommager les yeux. Ces lunettes ne sont pas adaptées aux lunettes de vue, auquel cas il est préférable d’opter pour un masque, un écran facial ou un format à demi-lunes incorporées.
Gants : protection contre les entailles et les coupures, il s’agit d’un accessoire indispensable. Les gants protègent également des substances corrosives et résistent aux surfaces chaudes.
Chaussures de sécurité : trop souvent négligées, les chaussures de sécurité assurent pourtant une protection polyvalente. Elles protègent les pieds des fractures suite à des chutes d’objet mais aussi des perforations. Munies de semelles antidérapantes, elles préservent également des chutes dangereuses.
Si un bon équipement est essentiel, se protéger en bricolant requiert des précautions supplémentaires. Il est ainsi important d’assimiler les mesures de sécurité à respecter pour vous-même et votre entourage. Veillez d’abord à bricoler dans un endroit éclairé et dégagé. Pensez à aérer la pièce fréquemment et à l’isoler du reste de votre entourage, en particulier des enfants et animaux de compagnie. Evitez également de stocker au même endroit solvants et produits inflammables. De même, limitez le nombre de multiprises pour éviter tout court-circuit. Pour prévenir tout risque de chute et en complément des chaussures de sécurité, stabilisez escabeaux et échafaudages. Si ces précautions permettent de limiter les risques, elles ne les annulent pas complètement et il est important de savoir comment réagir en cas de blessure.
Que faire en cas d’accident de bricolage?
Malgré une préparation optimale et un équipement adapté, se blesser en bricolant peut arriver à chacun. Chaque année, 300,000 personnes se rendent ainsi aux urgences après avoir bricolé. Si le recours à un médecin reste indispensable selon la gravité de la blessure, quelques gestes simples sont à connaître en cas d’accident.
Brûlure : le premier réflexe en cas de brûlure est de passer la blessure sous l’eau fraîche pendant dix minutes avant de la recouvrir d’un linge propre. N’appliquez surtout pas de pommade ou de produit pouvant infecter la plaie. En cas de contact avec un produit dangereux, rincez abondamment la plaie sous l’eau et changez de vêtements car des résidus corrosifs peuvent y adhérer.
Coupure : désinfectez immédiatement la blessure et pansez-la avec un linge sec ou avec de la gaze. N’utilisez pas de coton, dont les filaments pourraient s’infiltrer dans la plaie.
Ingestion d’un produit dangereux : il est important de ne rien boire et surtout pas du lait. Ne vous faites pas non plus vomir.
Inhalation d’un produit toxique : sortez immédiatement de la pièce pour vous oxygéner puis aérez l’endroit incriminé deux fois par jour, à raison de quinze minutes.
Pour que bricoler reste un plaisir, certaines précautions sont essentielles. S’organiser en amont, choisir l’équipement approprié et apprendre à réagir en cas d’accident vous permettront de travailler en toute sécurité. Alors à quand votre prochaine séance de bricolage ?
Protéger sa maison ou son appartement à l’aide de systèmes de sécurité, constitue un moyen de lutte efficace contre les cambriolages et les tentatives de vol. Bien qu’aucun dispositif ne puisse empêcher avec certitude une intrusion, installer une alarme chez soi permet d’agir en prévention. Avant de procéder à l’installation d’un système d’alarme, il faudra d’abord bien le choisir. Comment installer un système d’alarme de maison ? Il est impératif de déterminer en amont les points sensibles de son habitation, pour ensuite sécuriser les accès et zones vulnérables aux effractions. Voici tous nos conseils pour l’installation d’une alarme de maison.
Connaître les composants d’un système d’alarme
Un système d’alarme comporte un certain nombre de composants et d’options, selon le modèle.
L’élément majeur qui relie tout le dispositif et effectue plusieurs actions est la centrale d’alarme. Un badge à passer devant un lecteur, une télécommande, ou un clavier pour entrer un code, permettent d’activer ou de désactiver le système. La sirène intérieure ou extérieure, émet un signal sonore (voire même un signal lumineux) qui prévient d’une intrusion. Le signal étant continu et assez fort pour avertir les voisins, il peut faire fuir un cambrioleur.
Les détecteurs de mouvements assurent une protection volumétrique de la maison. Ils s’installent dans les zones de passage. A ce sujet, vous pouvez consulter notre article sur Comment placer les éléments de votre alarme. La protection périmétrique de la maison est assurée par des détecteurs d’ouverture, placés aux ouvertures simples d’accès (portes, fenêtres). Le détecteur de choc capte les vibrations produites lorsque quelqu’un essaye de s’introduire dans la maison ; il déclenche alors le système d’alarme. La caméra de surveillance capte les images, les enregistre, et permet de visualiser ce qu’il se passe chez soi sans être sur place. Chaque capteur ou détecteur transmet l’information à la centrale, qui pilote tout le système et déclenche le processus d’alerte.
Choisir son alarme de maison
Il faut privilégier un kit d’alarme suffisamment complet (en termes de fonctions et d’accessoires), qui correspond à la configuration de l’habitation, et aux besoins de ses occupants. Il est conseillé (certaines compagnies d’assurance l’exigent) d’investir dans des alarmes conformes à la norme NF A2P, gage de qualité. Il existe des systèmes d’alarme modulables, qui permettent de n’activer que certains équipements pour couvrir une zone en particulier. Ce zonage permet d’adapter la protection du domicile à l’activité de ses occupants. Les propriétaires d’animaux favoriseront un dispositif empêchant que l’alarme ne se déclenche à chaque passage d’un animal domestique.
On choisira de préférence un système d’alarme simple à utiliser, et facile à paramétrer. Il faut également vérifier que le modèle choisi dispose d’un système de « secours », si la connexion venait à être interrompue, ou en cas de panne d’électricité. Sans oublier des sécurités sur les accessoires, pour prévenir notamment l’arrachage ou la dissimulation des capteurs par un intrus. Il existe de nombreux modèles d’alarmes maison sans abonnement. Mais si l’on souhaite que l’alerte intrusion soit gérée par une entreprise, il est possible d’opter pour un abonnement auprès d’une société de télésurveillance.
Une bonne résolution d’image des caméras n’est pas un critère impératif, mais elle peut permettre l’identification d’un intrus. On privilégiera une caméra infrarouge, apte à couvrir une zone importante. Les enregistrements sont conservés sur une carte SD, ou sur des serveurs externes. Si la plupart des équipements de la maison fonctionnent avec un système domotique, il faudra vérifier la compatibilité avec le dispositif de sécurité.
Un système d’alarme permettant une alerte et un pilotage à distance est un plus, pour avoir l’esprit tranquille et être prévenu en temps réel en cas d’intrusion. Ce type de dispositif permet d’intervenir plus rapidement. L’alarme de maison connectée informe le propriétaire par Internet, ou sur son smartphone.
Installer une alarme sans fil ou filaire ?
L’alarme maison sans fil communique avec les différents équipements par ondes radio. Facile à installer et à déplacer selon ses besoins (à distance raisonnable de la centrale, pour ne pas rompre la transmission radio), elle est également évolutive. En effet, il est possible de compléter ultérieurement une alarme évolutive sans fil avec d’autres accessoires. La technologie ayant évolué, ce type d’alarme est aujourd’hui plus stable et plus sûr. Autant investir dans un dispositif complet, tel qu’une alarme sans fil de 5 pièces et plus, avec tous les composants nécessaires.
L’installation d’une alarme maison filaire est plus conséquente, en raison du passage de plusieurs câbles. Elle est donc plus adaptée lorsque l’on construit sa maison, ou que l’on prévoit une rénovation. Le principal avantage de ce système est sa stabilité, le signal entre les appareils ne pouvant être brouillé par des interférences, grâce aux liaisons assurées par les différents câbles. L’alarme filaire de maison manque toutefois de mobilité : une fois installés, les équipements ne peuvent être facilement déplacés. Le prix pour poser cette alarme de maison est donc plus important.
Ces deux types d’alarmes offrent la même efficacité contre les intrusions. Une alarme de maison haut de gamme sera généralement plus performante.
Poser soi-même son alarme
La majorité des systèmes d’alarme ne nécessitent pas de compétences particulières, on peut donc trouver facilement dans le commerce une alarme à poser soi-même. Pour installer soi-même une alarme, il faut d’abord définir où placer chaque composant. Certains accès et pièces sont plus vulnérables, et doivent être sécurisés en priorité. Les équipements doivent être placés suffisamment loin de tout appareil ou objet pouvant influer sur leur bon fonctionnement, ou parasiter le signal de transmission.
Le dispositif se fixe en principe sur un mur qu’il faudra percer, pour y placer des chevilles et visser le support. Certains supports peuvent être collés. Une fois installée, il faudra mettre l’alarme en service, la paramétrer, et vérifier qu’elle fonctionne. Si l’installation paraît trop complexe, le recours à un installateur d’alarme de maison peut être envisagé. Il évaluera les besoins en équipements, et s’assurera du bon fonctionnement de l’alarme.
Installer une alarme pour protéger sa maison nécessite donc d’étudier au préalable les lieux, pour déterminer ses besoins, et choisir le système de sécurité le plus adapté.
Les conseils des professionnels
Au total, chaque année, 2% des habitations françaises, tout type de logement mêlés, sont victimes d’une tentative d’intrusion ou d’un vol avec effraction. Ainsi, une alarme maison est une installation essentielle, qui préoccupe de nombreux particuliers. Bien évidemment, même une alarme de qualité ne peut arrêter un cambrioleur en pleine action, pour autant, il s’agit tout de même d’une installation qui pourrait permettre de limiter le risque d’intrusion, en décourageant de nombreux cambrioleurs.
Les professionnels recommandent donc d’installer une alarme chez soi pour éviter tout risque, ainsi que tout autre équipement lié à la protection de votre logement qui pourrait vous être utile, qu’il s’agisse de caméras ou d’un système de télésurveillance. Bien que la plupart des alarmes puissent être installées chez vous sans l’aide d’un professionnel, en suivant les recommandations, pour autant, certains conseils de sociétés travaillant dans le domaine de la surveillance peuvent être intéressants à prendre en compte :
La certification NF A2P. Bien que cette certification ne soit pas obligatoire sur les systèmes d’alarme, il est tout de même important de s’y intéresser, puisqu’elle témoigne du niveau de protection que vous offre l’alarme sélectionnée. Si vous disposez de biens dont la valeur est élevée, cette norme pourrait vous être imposée par votre assureur. Suite à cette demande, l’installateur de votre alarme devra lui aussi être agréé NF A2P.
Prendre en compte vos animaux de compagnie. On a tendance à les oublier au moment du choix d’une alarme, pour autant, il est important de faire en sorte que le système soit compatible avec la présence de vos animaux ! Vous risquez sinon de recevoir des alertes de manière régulière suite aux allées et venues de vos animaux, qui pourraient déclencher les capteurs de votre alarme.
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Marches qui craquent, usure prononcée, escaliers vieillots, … L’envie ou le besoin de rénover votre escalier se fait sentir ? Qu’il s’agisse de restaurer un vieil escalier en bois, de rénover un escalier en pierre intérieur, ou encore de relooker un escalier rustique, il existe des étapes incontournables. Comment rénover ses escaliers ? Suivez nos astuces et conseils, pour une rénovation d’escalier intérieur réussie.
La première étape essentielle est la préparation du support : il faut procéder au lessivage de l’escalier. Pour cela, mélangez un produit de nettoyage adapté (composé de soude) avec de l’eau. Frottez avec une brosse assez douce pour ne pas abîmer le revêtement. Effectuez un rinçage à l’eau, puis attendez que l’escalier soit bien sec.
Si vous souhaitez rénover un escalier en bois, pour retirer la couche de finition et retrouver son état brut, vous devrez décaper votre escalier en bois. Si le but est de le repeindre, il faudra effectuer un ponçage préalable.
À noter : les escaliers en chêne requièrent un préparateur ou une sous-couche spécifiques, avant de les peindre ou de les vernir.
Pour rénover un escalier en pierre intérieur, selon la roche qui le compose, vous pourrez le décaper par sablage ou effectuer un ponçage. Un escalier métallique en mauvais état devra aussi être décapé et, si besoin, vous pourrez appliquer un traitement contre la rouille. Vous aurez ensuite la possibilité de le polir, avant de le vernir ou de le peindre.
2. Rénover son escalier en le sécurisant
Vérifier et refaire les marches défectueuses
Après l’avoir décapé, examinez les défauts de votre escalier. Rebouchez les brèches et les trous, et réparez ou remplacez les marches défectueuses. Si vous constatez la présence d’insectes xylophages dans vos escaliers en bois, traitez-les. Une fois le décapage de votre escalier en béton effectué, comblez les brèches grâce à un mortier. Pour refaire les marches d’un escalier en bois qui comporte des fissures, utilisez un mastic à bois.
Réparez et recouvrez vos marches à l’aide d’un kit de rénovation d’escalier. Facile à poser sur vos marches altérées, il s’adapte à la plupart des matériaux, et permet notamment de rénover un escalier en carrelage, en bois, ou en béton.
Remplacer la main courante par une rampe d’escalier
Afin de sécuriser le passage, installez au moins une main courante d’escalier. Vous pouvez également remplacer la main courante par une rampe d’escalier. Elle est plus sécurisante, notamment pour les jeunes enfants. Une personne âgée, ou ayant des difficultés à se déplacer, pourra également prendre appui sur la rampe pour gravir les marches plus facilement. Choisissez une rampe aux normes : l’écart entre les barreaux ne doit pas excéder 110 mm, et la main courante doit atteindre une hauteur de 900 mm (sans franchir 1 000 mm).
Vous pouvez également miser sur une solution atypique : fixez un meuble de rangement ou une bibliothèque sur mesure en guise de rampe.
3. Relooker ses escaliers
Vitrifier
Le fait de vitrifier un escalier en bois laissé à l’état brut lui offre une bonne protection ; il s’usera alors moins vite. En outre, il est plus facile d’entretenir un escalier en bois vitrifié.
Choisissez votre vernis selon le rendu souhaité : non coloré pour faire ressortir le bois d’origine, s’il présente un intérêt esthétique. Vous pouvez également rajeunir un escalier en bois avec un vernis coloré. Il est conseillé de mettre plusieurs couches de vernis, en laissant bien sécher entre chaque application. Pour pouvoir continuer à emprunter l’escalier pendant sa rénovation, laissez une marche à nu entre chaque marche vitrifiée dans un premier temps.
Peindre
Peindre ses escaliers apporte une touche moderne, et permet de les harmoniser avec le style de la pièce où ils se trouvent. Pensez à consulter notre article sur l’outillage nécessaire pour la préparation des supports avant de peindre. La peinture se décline en plusieurs couleurs et nuances, il est donc aisé de trouver celle qui correspondra à vos goûts. Il faudra simplement procéder à l’application d’une sous-couche, et sélectionner les produits adéquats, en fonction du matériau de votre escalier. Comme pour la vitrification, il est conseillé de peindre d’abord une marche sur deux pour permettre le passage. Une fois sèches, peignez les autres marches. Enfin, vous pouvez également peindre la rampe escalier d’une couleur distincte afin de mettre en valeur la rénovation réalisée. D’autres préféreront remplacer la main courante escalier afin d’harmoniser le nouveau style de l’escalier avec la décoration de l’ensemble de la pièce.
Pour un plus bel effet, vous pouvez vitrifier les marches (qui garderont l’aspect du bois), et peindre chaque contremarche d’escalier dans les teintes qui vous plaisent. Pour rénover un escalier en bois sans contremarche, appliquez de préférence la même teinte sur l’ensemble des marches. Si vous souhaitez un rendu discret, assortissez les coloris de l’escalier et du mur attenant.
Recouvrir
Pour rénover un escalier abîmé, vous pouvez opter pour un kit de rénovation. Ce kit dissimule les marches usées en les recouvrant. Vous pouvez même sélectionner leur finition, pour un résultat harmonieux avec le style de votre maison. Si vous souhaitez transformer votre escalier sans le remplacer, une autre solution consiste à poser un revêtement dessus. Par exemple, pour donner un coup de jeune à un vieil escalier en bois, le béton ciré est tendance.
Grâce à ces astuces et conseils, vous êtes maintenant prêt(e) à vous lancer dans la rénovation de votre escalier d’intérieur.
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Objet incontournable de la décoration murale, le tableau attire l’œil. Bien choisi, il orne chaque pièce de votre maison avec style. Les tableaux décoratifs se déclinent en de nombreux modèles aux couleurs et motifs variés, pour s’accorder avec votre décoration d’intérieur. Dans quelles pièces installer vos tableaux ? Comment définir le bon emplacement ? Comment répartir des cadres sur un mur ? Comment choisir la taille d’un tableau ? À quelle hauteur l’accrocher ? Voici quelques conseils et astuces utiles, pour une déco réussie.
Réussir votre décoration murale : les bases
Le choix du tableau
Quel tableau choisir ? Si c’est avant tout une affaire de goût, le choix va également dépendre d’autres éléments. Le but étant de trouver le tableau qui vous plaît, et qui s’intégrera parfaitement dans votre décoration d’intérieur. Optez pour des couleurs harmonieuses, coordonnées à celles de vos murs et textiles (rideaux). Le contraste est aussi permis, pour faire ressortir l’œuvre et capter le regard. Préférez toujours un style qui s’accorde avec celui de la pièce à décorer, et un format de toile correspondant à l’espace dont vous disposez. Pour une touche originale et unique, vous pouvez miser sur un tableau personnalisé.
Trouver le bon emplacement
Une fois l’œuvre choisie, il faut encore trouver l’emplacement idéal. Si vous optez pour un mur de cadres, préférez une surface spacieuse pour les disposer. Accrochez ces cadres au salon, par exemple, sur un mur assez large. Regroupée sur un petit pan de mur, la décoration serait en effet trop chargée. Dans un grand couloir, on vous conseille d’installer vos œuvres les unes à côté des autres, au même niveau.
Classiquement fixés au-dessus de certains meubles (lit, canapé, buffet, etc.), les tableaux décoratifs ont aussi leur place dans l’angle d’une pièce. Un tableau déco pourra orner toutes les pièces de vie, mais pas uniquement ! Vous pouvez tout aussi bien aligner quelques cadres dans les escaliers.
Décorer votre pièce avec les bons tableaux
Quel tableau pour quelle pièce ?
Quel tableau mettre dans son salon ? Pour un rendu équilibré, associez les tons du tableau à ceux des rideaux et des murs de la pièce. Pour un style contemporain, choisissez des tableaux modernes pour salon. Une peinture panoramique de paysage sera une invitation à voyager. Et pour la cuisine ? Vous pouvez accrocher des tableaux en Plexiglas représentant des boissons ou aliments colorés, pour une note acidulée.
Préférez un tableau zen pour la chambre à coucher. Un tableau pour une chambre adulte romantique arborera plutôt des tons doux. Le repos étant la fonction principale de cette pièce, on évitera un cadre aux coloris trop agressifs. Un grain de folie est toutefois permis, concernant le choix du tableau pour une chambre d’ado.
Quelle taille de tableau sur un mur ?
Pour savoir comment choisir la taille d’un tableau, il y a un principe de base à connaître : pas de petit cadre isolé sur un vaste mur ! Comment décorer un grand mur de salon ? En accrochant plusieurs petits cadres, ou un tableau de grand format. Évitez toutefois de surcharger une petite pièce avec de grandes toiles, les décorations murales doivent respecter les proportions de vos espaces. Vous pouvez vous permettre d’accrocher une toile contemporaine de grand format sur un mur nu. Si d’autres éléments y sont fixés, ajoutez éventuellement un ou deux petits tableaux déco.
Harmonisez votre décoration intérieure
Il existe un vaste choix de tableaux décoratifs, pour tous les goûts : du tableau de salon scandinave au tableau design abstrait, en passant par le tableau nature en bois. Vous trouverez aisément une œuvre qui correspondra au style de votre pièce.
Bien agencer vos tableaux déco sur un mur
Gardez un style cohérent
Vous pouvez accrocher des cadres de différents formats, pour une composition tendance. Mais attention à ne pas vouloir faire trop original, en associant des décorations aux styles distincts. Composez votre œuvre murale en jouant sur les formes, les tailles, les motifs et les couleurs. Mais optez toujours pour le même style, afin d’obtenir un ensemble harmonieux.
Misez sur des agencements originaux
Les tableaux en noir et blanc, bien que classiques, se marient très bien à un intérieur plutôt chic et sobre. N’hésitez pas à associer des tableaux colorés originaux pour raviver votre décoration d’intérieur, tout en gardant une cohérence avec le style de la pièce. Pour un aspect dynamique, placez vos images de différentes façons. Vous éviterez ainsi un agencement trop uniforme et ennuyeux. Votre mur est simplement orné de cadres photo ? Ajoutez quelques décorations murales, par touches (lettres de l’alphabet, petits miroirs, etc.) Si vous combinez les différents éléments avec goût, sans trop surcharger, vous obtiendrez un bel effet.
Où réaliser un mur de cadres ? À différents endroits de votre logement ; il faut simplement un espace suffisant. Comment décorer un mur avec des cadres ? Optez pour des cadres coordonnés si vous souhaitez une touche raffinée, sinon misez sur l’originalité avec des cadres dépareillés, et laissez une faible distance entre deux cadres. Pour vous assurer du rendu, faites une simulation du mur de cadres.
Mesurer la hauteur de tableau idéale
Quelle est la hauteur de cadre idéale ?
La hauteur d’accrochage du cadre va dépendre de l’emplacement choisi. La fixation sera plus ou moins haute, selon que l’œuvre est exposée au-dessus d’un meuble, ou sur un mur qui n’est pas encombré. La toile devra idéalement être installée à la hauteur des yeux moyenne. Cela va donc aussi dépendre de la position de l’observateur : qu’il soit assis (face au mur où l’œuvre doit être accrochée), ou debout.
Ainsi, le point central de chaque pièce à fixer devrait se situer à une hauteur d’environ 165 cm, pour une observation en position debout. Descendez à environ 115 cm, si l’objet doit être au niveau du regard d’une personne assise. Dans le cas d’un mur de cadres, déterminez le point central de l’ensemble de la composition pour effectuer la mesure.
La hauteur du cadre dans un escalier se détermine à partir du centre de la marche au-dessus de laquelle vous placez le cadre. Pour un tableau au-dessus d’un canapé, prévoyez un espace d’une vingtaine de centimètres à partir du dossier. Vous êtes libre de disposer ces objets décoratifs d’une autre façon, pour obtenir un effet différent. Il est même possible de s’épargner ces mesures : vous pouvez simplement poser un cadre sur un meuble ou sur des étagères, par exemple. Pour plus de conseils pour accrocher un tableau au mur, retrouvez notre article ici.
Où placer la fixation ?
Une fois la hauteur définie, où planter le clou pour fixer le tableau ? Mesurez la hauteur du tableau, et calculez la moitié pour définir son centre. Puis déduisez l’écart entre l’emplacement de la fixation et le dessus du cadre. Additionnez le nombre obtenu aux 165 cm ou 115 cm de hauteur. Le résultat vous indique la hauteur de fixation.
Effectuez plusieurs essais avant d’accrocher votre tableau décoratif, jusqu’à trouver le lieu et l’agencement qui vous conviennent. Cela vous permet de visualiser l’ensemble, avant de poser les fixations.
Où trouver des œuvres d’art ?
Pour savoir comment réussir sa décoration murale, il est aussi des plus importants de savoir où choisir des tableaux qui vous ressemblent, et qui s’adaptent à vos envies de décoration. Il n’est pas toujours évident de savoir où trouver des œuvres d’art, surtout s’il s’agit de vos premières pièces, et que vous vous sentez intimidé par la visite des galeries d’art et par les tarifs de certaines toiles signées. Dans ce cas, vous pourrez vous tourner vers la vente d’art sur internet.
Il peut s’agir d’une option idéale pour vous permettre de découvrir des pièces uniques, qui éveillent votre intérêt et vous inspirent, et cela depuis chez vous. Généralement, ces œuvres sont triées par les techniques utilisées, qu’il s’agisse de photos, de peintures, de dessins, ou même de sculptures. Pour votre intérieur, nous vous conseillons de varier les styles et les supports et de faire ainsi en sorte d’alterner peintures et photographies, pour une décoration murale riche et originale.
De plus, en découvrant les œuvres de vos artistes préférés en ligne, vous pourrez visualiser au mieux le rendu des œuvres d’art qui vous intéressent dans votre intérieur, simplement par le fait de regarder autour de vous, en visualisant la peinture ou le dessin qui se trouve sur votre écran accroché dans la pièce où vous vous trouvez. Si vous disposez de quelques connaissances en informatique, vous pourrez prendre une photo de la pièce ou du mur sur lequel vous aimeriez accrocher ce tableau, et en réalisant une impression d’écran sur l’œuvre en question, avant de l’ajouter sur votre photo. Il s’agit notamment d’une technique très pratique si vous souhaitez réaliser un pêle-mêle de photo, en vous assurant que les couleurs, les tailles et les orientations des cadres pourront former un ensemble des plus harmonieux.
Enfin, acheter vos tableaux en ligne peut aussi vous permettre de découvrir de nouveaux artistes, qui n’exposent pas toujours dans les galeries de votre ville. Vous pourrez profiter d’œuvres à des tarifs intéressants, d’artistes encore peu connus du grand public et qui pourraient pour autant prendre de la valeur et gagner une cote intéressante en quelques années. C’est aussi le moyen de vous offrir des pièces d’artistes internationaux, pour marier les styles et les inspirations. Un moyen de rendre l’art accessible à tous, quels que soient vos goûts, vos envies, et votre budget.
Les cabanons de jardin sont une cible fréquente des voleurs. Non seulement ils sont souvent remplis d’outils de jardin et d’équipements de valeur mais ils sont aussi souvent plus accessibles que votre maison. Il est donc particulièrement important de sécuriser votre cabanon de jardin en bois.
1. Choisissez soigneusement l’emplacement
Idéalement, votre abri de jardin doit être positionné de manière à ne pas être visible de la rue mais pas au point de ne pas être visible de la maison. Si un voleur finit par le prendre pour cible, vous ne voulez pas qu’il puisse le faire sans être vu ? Choisissez de manière stratégique l’emplacement de votre cabanon, pour vous y aider consulter notre article sur « Comment trouver le meilleur emplacement pour son abri de jardin« .
2. Ancrez votre abri dans le sol
Si votre cabanon n’est pas ancré dans le sol, un voleur pourrait en soulever un côté pour accéder à vos affaires. Pour éviter que cela ne se produise, ancrez votre cabanon au sol. Envisagez d’utiliser des supports en L, des vis et des chevilles, ou de placer des parpaings à l’intérieur pour le rendre trop lourd à soulever. Si vous en avez la possibilité, vous pouvez même fixer le cabanon à un mur. Vous éviterez ainsi que votre abri ne soit emporté par le vent les jours de tempête.
3. Remplacez la charnière de la porte
La charnière de la porte de votre cabanon est l’un de ses points faibles. Elle est généralement fixée à l’aide de vis courtes qui se dévissent ou s’enlèvent facilement. Vous pouvez les renforcer en remplaçant les vis par des écrous et des boulons et en collant l’écrou au boulon à l’intérieur de la porte. Cela devrait dissuader les criminels d’essayer d’arracher la porte de votre cabanon.
4. Améliorez la serrure
Selon la qualité de votre abri de jardin, la serrure peut être facile à ouvrir. Un moraillon et un cadenas solide seront un moyen plus sûr et relativement peu coûteux de renforcer la sécurité de votre cabanon. Il est préférable d’opter pour un cadenas cher et de très bonne qualité plutôt que d’accumuler les cadenas bas de gamme qui attireraient l’attention.
5. Misez sur des fenêtres obscures
Si elles sont un véritable atout pour la luminosité, les fenêtres sont également un point faible dans la sécurité de votre cabanon. En effet, avec des fenêtres, les voleurs pourront voir si votre cabanon vaut la peine d’être cambriolé. Dans le cas où votre abri de jardin sert uniquement de lieu de stockage, vous n’avez pas du tout besoin de fenêtres. Vous pouvez masquer les fenêtres à l’aide de feuilles de sécurité autocollantes et opaques qui ont l’avantage d’empêcher le verre de se briser. Si vous travaillez dans votre remise et que vous avez besoin de lumière, pensez à installer des stores ou des rideaux, en veillant à ce qu’ils soient complètement fermés lorsque vous n’êtes pas là.
6. Installez une alarme
Même en prenant les précautions ci-dessus, un cambrioleur pourra toujours entrer par effraction s’il est conscient de vos efforts et s’il dispose des bons outils. C’est pourquoi l’installation d’une alarme pour les effrayer est notre prochain conseil pour un abri sécurisé. Placez un détecteur de mouvement dans le coin de la remise, ainsi qu’un détecteur de porte, et une sirène retentira chaque fois qu’un intrus sera détecté. Les équipements de jardin coûteux comme les tondeuses à gazon, les taille-haies et les biens familiaux comme les vélos ou les équipements de sport bénéficieront d’une protection supplémentaire.
7. Rangez vos outils la nuit
Laisser des outils dehors est mauvais pour la sécurité de vos biens. Non seulement vous semblez ne pas vous soucier de vos biens, mais les outils pourraient être utilisés pour entrer par effraction dans votre remise ou même dans votre maison. Essayez d’organiser votre cabanon à l’aide d’une planche à cheviller, de crochets et d’étagères de rangement. De cette façon, garder les outils bien rangés sera rapide et facile !
8. Utilisez une boîte de chantier pour les petits objets
Vous avez peut-être fait tout votre possible pour empêcher un cambrioleur de pénétrer dans votre remise, mais il peut arriver que vous soyez malchanceux et que vous oubliiez de fermer la porte derrière vous. Dans ce cas, vous pouvez aider à empêcher un cambrioleur de voir vos objets de valeur en les rangeant dans une boîte de chantier, en gardant vos outils hors de vue et en réduisant les risques de vol.
9. Attachez vos objets volumineux ou de valeur ensemble
En attachant vos objets de grande taille à l’aide d’un cadenas de vélo, vous pouvez rendre la tâche difficile aux voleurs qui veulent s’emparer de vos biens. Si vous attachez ensemble votre tondeuse à gazon et votre vélo avec un antivol, votre cambrioleur devrait être découragé.
10. Marquez vos biens
Si toutes les précautions ci-dessus sont prises, la probabilité qu’un cambrioleur vole vos biens est vraiment très faible. Toutefois, si l’impensable devait se produire, vous pouvez améliorer les chances de retrouver vos biens en les marquant avec un simple stylo à UV.
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Sur le plâtre des murs, les petites fissures sont courantes. Les vibrations et les imperceptibles mouvements de la structure, phénomènes normaux, les provoquent. Elles apparaissent aussi quand le plâtre se délite. Les marques de coups occasionnés lors du déplacement de meubles et les entailles faites lors de l’arrachage de papier peint se traitent à l’enduit pour intérieur. Les trous de 25 mm de diamètre au maximum dans les plaques ou panneaux de plâtre et de 50 mm au plus dans le plâtre se traitent aussi de cette façon.
Employez le reboucheur sur un plâtre criblé de trous ou montrant des cavités de quelque 150 mm de large et 25 mm de profondeur. Sur de larges zones abîmées, les fissures et les trous les plus importants se répareront au plâtre ou avec des plaques de plâtre.
Outillage et matériaux : brosse, récipient de plastique propre pour le mélange ; mélangeur, grattoir triangulaire, couteau à enduire, couteau à reboucher, cale à poncer ou ponceuse à vibration ou à bande, papier de verre à grain fin ou moyen. Éventuellement : queue-de-morue large, ciseau de maçon, massette, cutter, pulvérisateur d’arrosage de plantes d’appartement ; lame à enduire (ou réglette en bois), truelle plâtroir. Enduit de rebouchage ou reboucheur pour intérieur ; eau.
Traitement à l’enduit en poudre
1 Élargissez et approfondissez la fissure pour éliminer le plâtre abîmé et obtenir une bonne prise du reboucheur sur du plâtre sain. Le résultat sera meilleur en taillant les lèvres de la fissure en biais pour avoir un fond plus large que l’ouverture. Sur Placoplâtre, si le papier de surface est déchiqueté, coupez net les bords de la déchirure au cutter.
2 Dépoussiérez bien la fissure à la brosse.
3 Mélangez reboucheur et eau pour obtenir une pâte et chargez l’extrémité de la lame du couteau.
4 Tirez le couteau sur la fissure ou le trou pour y déposer la pâte, bourrez, puis enlevez l’excédent de pâte resté sur la lame et lissez la surface.
Alternative : En ce qui concerne les fissures et les cavités qui sont profondes (jusqu’à 5 cm), opérez par couches successives, appliquées le long des lèvres. Laissez sécher environ 2 heures entre deux couches.
5 Lorsque le reboucheur est bien sec, enduisez et lissez pour amener au niveau du mur.
Ensuite poncez à la cale à poncer ou bien à la ponceuse électrique.
Rebouchage au plâtre
I Protégez le sol. Au ciseau de maçon, éliminez le plâtre en mauvais état pour avoir une excavation au bord et au fond sains. Dépoussiérez à la brosse.
2 Humidifiez à l’éponge, au pinceau ou au pulvérisateur.
3 Mélangez le plâtre à l’eau pour obtenir une pâte consistante. Gâchez dans un bol et avec une cuillère propre ; car des adhérences de vieux plâtre mêlées au plâtre neuf nuiraient à sa solidité. Le plâtre gâché, opérez vite.
4 Obturez le trou par couches de plâtre successives. Attendez 1 heure environ avant d’appliquer une autre couche si cela se révèle nécessaire.
5 Mettez de niveau à l’aide de la réglette ou en vous servant de l’arête de la truelle plâtroir tenue obliquement.
6 Avant la prise complète du plâtre, arrosez légèrement la surface et lissez-la à la truelle.
Lorsqu’on veut peindre, les meilleurs résultats s’obtiennent en arrachant les anciens papiers peints avant toute rénovation du décor mural, Pour un papier solidement collé, une décolleuse à vapeur, d’un prix de location modeste, se révèle préférable au décollage à l’eau et à la raclette.
Vous pouvez tapisser sur un ancien papier, mais la réactivation de la colle peut détendre le nouveau revêtement ou y provoquer des taches. Sur certains papiers – les lavables, les épongeables, les reliefs, les velours, les métallisés -, un nouveau papier peint n’adhère pas, une peinture peut laisser transparaître le décor de dessous.
Enlever un vieux papier peint exige du temps. Un trempage insuffisant rend le décollage pénible. De plus, il faut prendre certaines précautions : protégez le sol par une bonne couche de toiles ; limitez le gâchis en évitant de marcher sur le papier arraché, qui colle aux semelles. Pour cela, immédiatement après leur arrachage, jetez les plus grands lambeaux dans un sac poubelle.
Papier standard
Les papiers duplex s’enlèvent comme les papiers standard, mais, comme ils sont plus épais, ils nécessitent un trempage beaucoup plus long.
Outillage et matériaux : seau, grosse éponge ou pinceau à badigeon, large, couteau de peintre. Eau, colle de cellulose, détergent liquide ou produit à vaisselle.
1.À un seau d’eau chaude, ajoutez de la colle et une giclée de détergent. La colle maintient l’eau sur le papier, et l’humidification est accélérée par le détergent.
2.Mouillez abondamment toute la surface du papier à l’éponge ou à la brosse à badigeon. Laissez le papier s’imbiber durant 5 minutes au moins.
Un bon truc : Pour un marouflage rapide, utilisez un pulvérisateur de jardin et non pas une éponge ou une brosse à badigeon.
Faites un test de décollage en glissant le couteau sous le papier humide soit au bas du lé, soit à un raccord. Le couteau a un angle d’environ 30° avec le mur, poussez le couteau mais ne l’enfoncez pas dans le plâtre.
Si le papier ne se ride pas ou s’il se soulève difficilement, l’imbibation est insuffisante. Mouillez de nouveau, puis testez. Si le papier se ride, soulevez-le de bas en haut. Il doit pouvoir être décollé par larges bandes.
4.Glissez délicatement le couteau sous le papier humide et continuez le décollage.
5.Si, malgré de longs et abondants mouillages, le papier adhère toujours au mur, n’insistez pas. Le plâtre serait trop humide et mettrait longtemps à sécher. Il est préférable d’utiliser une décolleuse à vapeur si les travaux entrepris ne vous permettent plus de bénéficier de l’électricité.
Utilisation d’une décolleuse à vapeur
La location d’une décolleuse de papier peint économise temps et énergie. On trouvera l’adresse du loueur le plus proche dans les pages jaunes de l’annuaire télé- phonique, à la rubrique Location de matériel pour bricolage.
Outillage et matériaux : décolleuse, gants de caoutchouc, lunettes de protection, large couteau de peintre, eau.
Procurez-vous le mode d’emploi de la machine.
Remplissez le réservoir d’eau (chaude ou froide), mettez en chauffe. Sur les décolleuses à chauffage électrique, une dizaine de minutes après, un voyant s’allume. La décolleuse, à ce moment-là, peut être utilisée.
3. Mains gantées, lunettes aux yeux – surtout pour le décollage de papier au plafond -‘ plaquez le plateau au bas du lé et maintenez-l’y jusqu’à ce que le papier, autour, soit humide ; il faut en général 1 minute. Décollez lé parlé et de bas en haut. Si le papier est lavable, utilisez au préalable une brosse métallique ou un rouleau spécial pour le déchirer.
D’une main, plaquez le plateau plus haut et maintenez-y-le; de l’autre, arrachez le papier humide en le tirant vers le haut, détachez au couteau de peintre toutes les parties qui se décollent difficilement.
Le premier lé décollé, revenez au bas du suivant et travaillez comme précédemment. Surveillez le niveau d’eau et alimentez si nécessaire.
Sur un support de plaques de plâtre pour l’isolation des murs ou sur des panneaux monoblocs pour réaliser des cloisons, veillez à utiliser le moins possible le couteau et à ne pas l’enfoncer, car la vapeur ramollit aussi la surface du support. Le papier doit se décoller facilement à la main.
Papiers lavables, relief épais, papiers sous couche de peinture
Les papiers recouverts de peinture peuvent se décoller avec un décapant chimique pour crépis décoratifs, méthode plus simple mais coûteuse.
Outillage et matériaux : les mêmes que pour les papiers standard, plus un couteau à enduire cranté ou une cale à poncer et du papier de verre à gros grain.
1.Griffer le papier à l’aide du couteau cranté. Il existe des rouleaux Métalliques spéciaux pour griffer le papier, mais la plupart se dédoublent quand on tire dessus. La couche de papier qui reste au mur sert de papier d’apprêt pour le nouveau revêtement.
2.Mouillez et décollez le papier décor comme un papier standard Si le papier support qui le double se détache facilement lui aussi, il a été mal collé ou bien le mur est humide. Dans ce cas, cherchez-en la cause pour y remédier avant de poser tout autre revêtement.
Papiers pelables et vinyles
Le papier peint dit « pelable » est un papier peint composé de 2 feuilles, la feuille visible comportant les motifs, facilement décollable à sec et la feuille arrière en contact avec le mur, qui, elle, ne se décolle pas et permet de conserver un fond.
1 Avec une fine lame, soulevez un angle du film de plastique et détachez-le de son papier support.
2 Tirez vers le haut, la main frôlant le mur. En tirant vers soi, vous risquez de décoller le papier support.
3 Si ce papier support est bien collé et en bon état, conservez-le et utilisez-le comme papier d’apprêt. Dans le cas contraire, arrachez-le comme un papier standard.
Il en va de même pour les nouveaux revêtements en vinyle expansé (qu’ils soient granités, marquetés ou unis).
Conseil de sécurité : Coupez le courant électrique au compteur avant de dévisser la plaque d’un interrupteur ou d’une prise de courant si le papier à décoller est en partie pris sous cette plaque.
Décapage des crépis décoratifs
Ce sont des enduits étalés en épaisseur, auxquels on donne une décoration en relief. Leur décapage est un travail très malpropre, surtout sur un plafond. Trois méthodes sont possibles. Mais, avant tout, sortez tous les meubles et recouvrez le sol de couches de journaux à jeter au fur et à mesure qu’ils se couvriront de matériau arraché.
Le moyen le plus efficace est l’emploi d’un décapant pour ce type de revêtement. (Pour l’emploi et les quantités nécessaires, voir le mode d’emploi indiqué par le fabricant.) Travaillez avec des gants et portez des lunettes de protection. Détachez le matériau ramolli au couteau de peintre, puis lavez le support à l’eau chaude et au détergent. Certaines de ces peintures obligent à regratter le support après ce lavage.
Autre méthode : l’emploi d’une décolleuse à vapeur. Chaleur et vapeur traversent la couche superficielle de la peinture et la ramollissent en profondeur. On l’élimine alors au couteau de peintre.
Lorsqu’on ne parvient pas à supprimer un crépi, on peut envisager une ultime solution qui consiste à recouvrir toute la surface par une épaisse couche d’enduit lissé venant masquer toutes les aspérités existantes.
Pour plâtres et maçonneries les reboucheurs sont, en général, en poudre à mélanger à de l’eau. Les temps de prise sont donnés à titre indicatif pour une température moyenne. Le froid allonge ce temps de prise, la chaleur le réduit.En complément, pensez à regarder notre article sur l’outillage nécessaire pour appliquer les reboucheurs sur les murs à traiter.
Reboucheurs pour intérieurs et extérieurs
Emploi : Fissures, dégradations sur plâtres, maçonneries, bois.
Description : Type Touprêt : poudre. Ne peut être utilisé sur surfaces humides. Sec en 30 minutes. Emploi facile.
Type Alabastine : poudre. Sec en 2 heures. Se dilate en séchant. Emploi facile.
Type Polyfilla : poudre. Sec en 2 heures. Emploi facile.
Plâtre pour réparations intérieures
Emploi : Grandes surfaces de plâtre dégradées, crevasses et cavités importantes.
Description : Plâtre fin avec additif pour retarder la prise. Durcit rapidement, sèche en 2 heures. Généralement moins cher que la plupart des reboucheurs, et il y a moins de perte en quantité de produit car le travail doit être très rapide.
Reboucheur polyvalent pour intérieur et avec additif pour l’extérieur
Emploi : Fissures et trous dans les plâtres, bois, maçonneries, verre, métal, Certaines qualités, avec addition d’un adhésif spécial, utilisables en exterieur.
Description : Poudre ou pâte, la surface est dure et légèrement flexible quand il durcit. Résiste aux intempéries mais non à une humidité permanente. Peut être laissé tel quel ou être peint. Garde sa plasticité durant 1 heure pour le travail. Sèche en 2 heures. Parmi les plus chers des reboucheurs.
Reboucheur à base de résines époxydes
Emploi : Fissures de chéneau et descentes d’eau métalliques. Utilisable sur bois à peindre car il devient gris en séchant.
Description : Deux composants (adhésif et durcisseur) à mélanger suivant le mode d’emploi. Ne préparez que la dose pour une application de 5 minutes au maximum. Prise rapide : 20 minutes par beau temps. Deux qualités : « dur », pour surfaces rigides ; « flexible », pour surfaces qui peuvent avoir une certaine élasticité. Peu sensible à l’humidité, Gris une fois sec.
Bouche-pores et pâtes à bois à base de résines époxydes (intérieur et extérieur)
Emploi : Fissures et petits trous, «travaille» avec le bois.
Description : Deux composants (adhésif et durcisseur) à mettre en pâte à bonne température suivant le mode d’emploi. Prise rapide (20 à 30 minutes) ne préparez que la quantité nécessaire pour 5 minutes d’application.
Bouche-pores et à bois type bouche-pores (intérieur et extérieur)
Emploi : Fissures et petits trous
Description : Pâtes adhésives. Prise en 10 minutes environ à bonne température. Existent en teintes s’harmonisant avec l’essence des bois traités.
Joint silicone pour intérieur et extérieur
Emploi : Fissures entre boiseries et maçonneries tels cadres de fenêtres. Joints d’étanchéité entre maçonneries et éviers, lavabos, baignoires ; vitrages et armature de vérandas, etc.
Description : Cordon caoutchouteux se moulant sur le support et s’appliquant à l’aide d’un pistolet applicateur. Suivez le mode d’emploi. Forme une peau au bout de 4 heures environ. Peut alors se peindre.
Mousse de rebouchage pour intérieur et extérieur
Emploi : Passage de tuyauteries et de câbles à travers tous types de maçonneries. Endroits difficiles à atteindre
Description : Mousse de polyuréthanne en bombe à projeter sur surface mouillée. Se travaille en 5 à 7 minutes environ. Augmente 60 fois de volume sur le support.
Forme une peau en 1 ou 2 heures. Peut alors se couper, se poncer et se peindre
Une bonne préparation des supports est indispensable pour obtenir des résultats satisfaisants. Cette mise en état du fond peut se réduire à un simple lessivage. Mais elle peut aussi comporter nombre d’opérations : décapage de peintures, arrachage de papiers peints, traitements préventifs, ponçage… Pour réaliser chacun de ces travaux, il existe toute une panoplie d’outils. Il est de votre intérêt de les choisir de qualité : s’ils sont plus onéreux au départ, ils se révéleront plus économiques car ils vous feront gagner du temps et, correctement entretenus, beaucoup dureront des dizaines d’années.
Les grattoirs
Ils peuvent servir à égrener les plâtres neufs (aspérités), à préparer fissures et cavités au rebouchage, à décaper les vieilles peintures malsaines. Le plus simple est le grattoir triangulaire. Dans la même « famille », le combiné, aux arêtes rectilignes et courbes (pour surfaces planes et moulurées). Plus spécialement pour bois, le grattoir Skarsten à lame rectiligne, ou à lame dentée pour les décapages difficiles. Affûtez bien votre grattoir avant usage. Nettoyez-le et graissez-le l’ouvrage terminé.
Les couteaux de peintre
Utilisés pour appliquer les produits de rebouchage et les décapants en pâte, pour décoller les peintures ramollies par brûlage et les papiers peints. On les trouve en différentes largeurs (de 2 à 12 cm); quatre suffisent pour pratiquement tous les travaux (2, 4, 6 et 8 cm). Les lames ne doivent pas être détrempées au brûlage des peintures, le fil doit rester rectiligne. Mêmes soins que pour les grattoirs.
Les lames à enduire
De la même famille que les couteaux de peintre, mais plus flexibles et plus larges (de 8 à 30 cm), elles servent à appliquer un durcisseur sur une surface instable, un enduit de lissage sur plâtre, un enduit pour crépi décoratif… Trois suffisent à un bricoleur (12, 16 et 22 cm). Mêmes soins que les précédents.
La truelle plâtroir
Elle sert pour les rebouchages au plâtre. Éventuellement une auge (une large bassine en plastique peut faire l’affaire) et une règle de plâtrier (une baguette bien droite en bois peut la remplacer).
Le brûle-peinture
Il sert pour le décapage par brûlage des vieilles peintures. C’est la lampe à souder à gaz butane munie d’une buse plate et large. Le brûlage ramollit la peinture, que l’on décolle au couteau de peintre. Outil délicat à manier comme tout appareil à flamme nue. Son emploi exige un minimum de précautions.
Le décapeur thermique
Il remplit le même rôle que le brûle-peinture, sans flamme, construit sur le principe du sèche-cheveux. La température élevée du souffle d’air peut sérieusement brûler la peau. La décolleuse de papier peint Outil créé sur le principe du fer à repasser à vapeur. Ici, la chauffe est obtenue par une grosse bouilloire électrique ou au gaz butane, d’où la vapeur s’échappe par une plaque perforée appliquée sur le papier à décoller. Le décollage est facilité et accéléré. L’ensemble est assez encombrant et onéreux pour un usage peu fréquent. Mieux vaut louer l’appareil. Il existe une petite plaque décolleuse que l’on branche sur un autocuiseur chauffé sur un camping-gaz. Cela constitue un ensemble assez facile à déplacer, astucieusement conçu, et qui paraît aussi économique qu’utile pour décoller les papiers.
Les ponceuses
La ponceuse électrique traite vite de grandes surfaces. Préférez les ponceuses à vibration, ou à bande, aux disques montés sur perceuse. L’emploi de ces disques exige une certaine habileté pour ne pas creuser des sillons en arc de cercle dans la surface travaillée. Il faut d’ailleurs avoir la main légère avec les outils électriques qui arrachent vite plus d’épaisseur de matière qu’on le désire. Sur peinture, n’utilisez le ponçage que légèrement pour dépolir ou mettre à niveau un petit raccord, jamais pour décaper. La peinture encrasse très vite l’abrasif, dont on fait alors une consommation ruineuse.
Matériel divers
Pour le rebouchage: récipients en plastique pour les mélanges. Jetez un œil à notre article sur le choix des reboucheurs.
Pour le décapage et les traitements préventifs (application de décapants liquides, de produits hydrofuges, de fongicides): vieux pinceaux inutilisables en peinture ou neufs mais de qualité inférieure.
Pour le lessivage: grosses éponges animales (cellulosiques pour le décollage des papiers), brosses de chiendent, brosses métalliques (en laiton ou en acier), gros pinceaux à lessiver (à la rigueur à badigeon, ces derniers pouvant servir à l’application de peinture sur crépi), bassines et seaux en plastique.
Pour le dépoussiérage : brosses à dépoussiérer. Enfin, une bonne réserve de chiffons propres non pelucheux ; des sacs poubelle ; des toiles, des bâches, des feuilles de plastique et des vieux journaux. La décolleuse électrique est moins encombrante que celle qui fonctionne au gaz (avec sa bouteille de gaz butane) et l’eau monte plus rapidement en température. L’outil bleu placé à sa gauche sert à griffer le papier.
Utilisez un pouce de 25 mm et une brosse à rechampir. Commencez par la traverse haute du châssis. Peignez à coups de brosse horizontaux. Enlevez les coulures immédiatement d’un léger coup de brosse. Croisez à petits coups de brosse verticaux sans recharger. Lissez, toujours sans recharger, dans le sens horizontal.
Châssis vitré
Peignez la traverse basse suivant la même méthode, puis, à la brosse à rechampir, les petits bois entourant les vitres. Les bavures sur les carreaux doivent être essuyées avant séchage, à l’aide d’un chiffon propre non pelucheux tendu sur la lame d’un couteau à reboucher que vous ferez glisser le long de la vitre. Vous pouvez également protéger les carreaux en collant préalablement sur le pourtour du papier adhésif crêpé, ou en appliquant contre le verre un carton mince (ou un masque en métal ou plastique vendu dans le commerce), déplacé au fur et à mesure que vous peignez les petits bois. Veillez à ce que la peinture pénètre bien entre le bois et le verre pour faire le joint entre eux.
Peignez les montants à longs coups de brosse verticaux. Croisez horizontalement et lissez verticalement, de façon uniforme.
Si la fenêtre n’est pas peinte de la même couleur à l’intérieur et à l’extérieur, la partie arrondie du battant gauche, appelée le mouton, est à peindre mi-partie en une teinte, mi-partie en l’autre, verticalement. La partie creuse, appelée gueule-de-loup, qui dans le battant de droite correspond au mouton, est à peindre dans la couleur extérieure, à l’exception de la face plane qui la termine côté intérieur.
Cadre fixe (dormant)
Peignez la traverse haute, puis la pièce d’appui, et terminez par les montants en procédant comme pour le châssis vitré.
Ferrures
Elles se peignent en même temps que les montants et les traverses sur lesquels elles sont fixées. Essuyez avant séchage la peinture sur les pivots des gonds. Prenez garde de ne pas trop charger en peinture les gâches, les guides et la boîte de la crémone, ainsi que les gonds, car c’est là que les coulures et les accumulations de peinture se produisent le plus facilement. Ces débordements de peinture peuvent à la longue gêner le fonctionnement des guides et sont particulièrement inesthétiques.
En général, la seule façon de remédier aux défauts d’une peinture ratée est de tout décaper et de recommencer. L’échec est principalement dû à : une mauvaise préparation des supports; l’humidité temporaire ou permanente; l’incompatibilité des peintures (l’ancienne et la nouvelle, ou les différentes couches de nouvelles).
Écaillage
Cause et remède : La peinture n’adhère pas au support. Mauvaise préparation de celui-ci (peinture à la colle mal décapée ; surface poreuse mal enduite ; ancienne peinture brillante non dépolie. Sur métaux ferreux, rouille sous la peinture ; sur bois, pourrissement aux moisissures mal éliminées); beaucoup plus rarement, mauvaise qualité de la peinture.
Écaillage limité décapez au papier de verre fin, rebouchez, enduisez ou imprégnez et repeignez les parties touchées. Écaillage étendu : décapez tout et recommencez.
Cloquage
Cause et remède : Application d’une peinture à film imperméable sur un support humide : plâtre frais, bois non sec mur humide en permanence. Sur un support sain exposé au grand soleil, peut apparaître en été. Sur mur humide en permanence, recherchez et traitez la cause. Les palliatifs (peinture hydrofuge, feuille de plomb collée sur le support) ne font que déplacer l’apparition de l’humidité vers des zones non protégées. Si le traitement se révèle trop onéreux, doublez le mur humide d’une cloison en panneaux en ménageant une circulation d’air entre les deux. Peignez sur cette cloison.
Craquelures
Cause et remède : Mauvaise adhérence d’une couche sur l’autre. Ce défaut est dû à l’application d’une couche sur une autre non encore bien sèche ou à la superposition de deux peintures de compositions différentes et incompatibles ; ou encore, pour une laque, â l’application d’une couche trop épaisse. Le plus souvent, une trop grande surface est intéressée pour permettre un rafistolage. Décapez complètement et recommencez.
Remontée en surface de la couleur de fond
Cause et remède : Accident qui se produit quand on peint sur un fond sombre sans avoir passé une peinture d’apprêt. Il arrive bien plus rarement sur fond clair avec application de deux couches de peinture. Pour y remédier, passez une troisième couche, de préférence de peinture monocouche dont le pouvoir couvrant est plus grand. (S’il s’agit de peinture glycérophtalique, avant cette troisième couche, il faut dépolir la surface pour faciliter l’accrochage).
Coulures
Cause et remède : Elles se produisent quand la brosse (ou le rouleau) est trop chargée, la couche trop épaisse. Hâtez-vous de les rattraper à la brosse ou au rouleau alors qu’elles sont fraîches. Si la peinture a commencé de sécher, attendez un séchage complet. II faudra beaucoup de minutie pour ôter le plus gros des coulures à l’aide d’un petit grattoir ; poncez. Dépoussiérez, faites un raccord de peinture sans trop charger la brosse, ou passez carrément une couche de finition Supplémentaire sur le support Cette fois sans coulures.
Taches
Cause et remède : L’eau d’une peinture émulsion peut agir sur des impuretés de la maçonnerie et provoquer des taches. Autre cause, des fils d’acier arrachés à une brosse métallique ou de vieux clous, noyés dans le plâtre, risquent de créer des taches de rouille. Décapez les zones affectées, passez un apprêt au zinc ou à l’aluminium, poncez et faites les raccords de peinture. Plus graves, les coulures de suie le long des conduits de cheminées des vieilles maisons. En général très larges, ces conduits ne se réchauffent pas en totalité quand on utilise la cheminée. La suie devient visqueuse, attaque les joints de maçonnerie, tache mur et peinture (Ou le papier peint). Ramonez, chemisez le conduit ; décapez, passez un apprêt et repeignez les zones touchées.
Moisissures et décoloration
Cause et remède : Elles sont provoquées par l’humidité, en général dans les pièces à buée où se produisent fréquemment des condensations. Les spores de champignons se fixent sur la peinture et se manifestent par des moisissures et des taches noires ou brunes. Traitez au fongicide, lavez, séchez et effectuez les raccords de peinture.
Ternissure d’une peinture brillante
Cause et remède : Plusieurs causes
La peinture s été appliquée sur une surface poreuse pas ou mal enduite.
La couche d’apprêt ou la première couche n’était pas sèche à l’application de la suivante.
on a peint par grand froid.
La peinture est de mauvaise qualité.
L’air marin accélère le phénomène.
Sur la surface sèche, poncez, dépoussiérez, lessivez, laissez sécher et passez une nouvelle couche de finition.
Rides
Cause et remède : En général provoquées par l’application d’une couche de peinture sur une autre non complètement sèche. Le solvant de cette dernière attaque la peinture fraîche, pour remonter en surface et s’évaporer.
Décapez, poncez et repeignez… en laissant cette fois chaque couche bien sécher avant de passer la suivante
Farinage
Cause et remède : La peinture tombe en poussière. Elle a été trop diluée. Décapez, poncez, repeignez avec une peinture suffisamment grasse.
Peinture rugueuse
Cause et remède : Sur plâtre neuf, quand celui-ci n’a pas été égrené, c’est-à-dire que les gouttelettes de plâtre qui y sont tombées lors du travail de plâtrerie, même le plus soigné, n’ont pas été ôtées au grattoir, et ‘enduisage mal fait ou oublié. Sur autres supports, brosse, rouleau ou camion sales, peinture contenant des « peaux » non filtrée ; poussières dans la pièce en cours de travail ou de séchage.
La peinture sèche, poncez pour la lisser, dépoussiérez, lessivez, laissez sécher, appliquez une couche de finition.
La peinture ne sèche pas
Cause et remède : La pièce est mal ventilée, très froide. Établissez des courants d’air ; chauffez la pièce. Si le mal persiste, il est provoqué par l’application de la peinture sur un support sale et probablement graisseux. Décapez, lessivez et repeignez.
Insectes
Cause et remède : Lors du travail, des insectes peuvent s’engluer dans la peinture fraîche. Retirez-les immédiatement et faites un petit raccord. S’ils s’y prennent pendant le séchage, attendez que la peinture soit bien sèche et ôtez l’insecte par frottement ou grattage délicat.
Corniches, moulures, rosaces de plafond, voussures en staff ou imitation de staff, comme tout autre support, peuvent se peindre d’une couleur unie s’harmonisant ou contrastant avec celles du plafond et des murs après préparation (réparation si nécessaire, rebouchage, ponçage, dépoussiérage, lessivage). Si les supports à peindre ont un décor en relief, il est possible que l’on veuille rehausser ses motifs par l’emploi d’une seconde couleur.
On peint en général ces éléments à la peinture émulsion. Celle-ci s’impose pour une imitation de staff en polystyrène.
I Emploi du pouce de 25 mm et du rouleau d’angle. Procédez par couches fines. Laissez sécher entre chacune d’elles. Nettoyez immédiatement les bavures au chiffon.
2 Peignez le fond. Laissez sécher avant l’application de la deuxième couleur sur les motifs à décorer. Utilisez 2 brosses à tableau ou 2 pinceaux fins.
3 Affermissez votre main par appui du petit doigt sur le support. Appuyez le poignet sur un bâton aux extrémités enrobées d’éponges ou de chiffons non pelucheux.
Si le battant n’est pas dégondé, travaillez porte ouverte. Le chambranle se peint en dernier.
Portes isoplanes
Leur planéité permet indifféremment l’emploi de la brosse, du rouleau en mousse de polyuréthanne ou du tampon ; les épaisseurs de portes se font à la brosse ou au rouleau à rechampir.
Peignez par sections, à coups de brosse verticaux, en commençant par un angle supérieur. Croisez horizontalement sans recharger la brosse. En croisant, égalisez bien les raccords. Lissez sans appuyer, par bandes et du haut en bas de la porte. Laissez sécher, poncez, dépoussiérez. Passez la seconde couche en procédant de la même façon.
Peignez les épaisseurs de la porte en commençant par l’horizontale du haut, puis les verticales. Si possible celle du bas (recommandé pour les portes donnant sur l’extérieur et celles des pièces à buée, cuisine, salle de bains).
Portes à panneaux
Utilisez de préférence des brosses, dont la brosse à rechampir pour les moulures et les épaisseurs. Peignez les panneaux de moulure à moulure dans leur plus grande dimension, Croisez. Lissez dans le sens où vous avez peint. Lissez les moulures de coin à coin.
Arrêtez la peinture des chants horizontaux à l’aplomb des panneaux et peignez les chants verticaux du haut en bas de la porte. Pour la peinture des épaisseurs poncez dépoussiérez comme précédemment, procédez de la même manière pour la seconde couche.
Portes à panneaux vitrés
Elles se peignent comme les châssis vitrés des fenêtres. Pour les portes-fenêtres, le panneau plein du bas se peint comme la porte à panneaux.
Si les deux côtés d’une porte sont peints de couleurs différentes, il faut peindre les épaisseurs de la porte, les feuillures (parties du cadre sur lesquelles s’appuie la porte fermée) et le chambranle qui l’entoure dans la couleur choisie pour le côté où elle s’ouvre en tirant. Peignez le reste dans la teinte adoptée pour l’autre côté. Cependant, si la porte s’ouvre à moins de 90° (ouverture bloquée par un mur perpendiculaire, par exemple), vous pouvez ne pas peindre l’épaisseur, côté gonds, comme celle côté serrure, mais dans la seconde teinte.
En général, les épaisseurs dessous et dessus ne se peignent pas. Toutefois, si quand la porte est ouverte le dessus se voit (d’un escalier, par exemple), peignez-le afin que la couleur du bois nu ne jure pas avec le reste. Quant au-dessous, peignez-le également s’il risque d’être mouillé (porte d’entrée exposée aux intempéries ou sol carrelé lavé à grande eau).
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Le portail termine la clôture de votre terrain, il faut donc veiller à choisir un produit fonctionnel et robuste, tout en restant esthétique. Autre critère essentiel : le système d’ouverture. Portail battant ou coulissant ? Le choix va dépendre de la surface dont on dispose. En tant que particulier, vous pouvez sécuriser l’accès à votre habitation grâce à un portail coulissant, tel que présenté ici. En effet, les portails coulissants ne sont pas réservés qu’aux entreprises. Voici nos 4 conseils pour bien poser un portail coulissant.
1. Choisir parmi les différents portails coulissants
Pourquoi choisir un portail coulissant ?
Le principal intérêt d’un portail coulissant, par rapport à un portail battant, est son adaptation à la configuration des lieux : on pourra ainsi l’installer sur un terrain en pente. Il permet aussi de gagner de l’espace, le vantail s’ouvrant sur le côté. Sa manipulation est par ailleurs très simple.
En fonction du lieu
Les portails coulissants clôturent souvent l’enceinte des entreprises, mais on les retrouve aussi au sein des habitats collectifs et individuels des particuliers. Veillez à opter pour un portail dont la couleur et le matériau s’harmonisent bien avec le cadre de votre habitation.
Une solution futée : le portail autoportant
La pose d’un portail coulissant autoportant est facilitée : en effet, il n’y a pas de rail à installer au sol, une simple base en béton supportera la structure du portail. Par ailleurs, les éventuelles déformations et obstructions du rail ne seront plus un souci, si vous optez pour l’autoportant.
2. Définir la taille du portail coulissant
Quelles dimensions pour votre projet ?
Pour définir la taille du portail, prenez en compte la surface dont vous disposez, l’espace latéral requis pour ouvrir le portail, et la largeur de l’accès souhaité.
La hauteur du portail sera déterminée par rapport à celle de la clôture, du mur ou des piliers. Un portail de hauteur 170 cm sera dans la moyenne. Les plus bas (140-150 cm) sont standards, et certains portails dépassent les deux mètres.
Au niveau de la largeur, un portail coulissant de 3m50 ou de 3 m sera standard. On posera généralement un portail coulissant de 4 m chez des particuliers. Les industries, entreprises, ou habitats collectifs seront en principe équipés d’un portail coulissant de 5 m et plus. Les entreprises choisiront de faciliter le passage des véhicules et autres gros porteurs grâce à un portail coulissant tel que présenté ici.
Avant de chercher votre modèle dans un magasin de bricolage, vos mesures doivent être effectuées avec précision (plusieurs sites proposent des schémas à cet effet ). Vous éviterez ainsi de vous retrouver avec un portail coulissant trop court, par exemple.
L’intérêt d’un portail sur-mesure
Si vos mesures ne correspondent pas aux tailles standards, optez pour le portail sur-mesure : cette solution permet la réalisation de portails de toutes dimensions. Sollicitez des entreprises spécialisées ou un artisan, qui s’occuperont de chaque étape de votre projet. Cette formule vous coûtera certes plus cher, mais vous obtiendrez un portail de qualité, adapté à vos besoins, et posé par des professionnels qualifiés. Vous vous épargnerez en outre les travaux de pose du portail.
3. Sélectionner le matériau et les options du portail
Opter pour un matériau résistant
Concernant la composition d’un portail coulissant, si votre budget est serré, optez pour le portail en PVC. Facile à entretenir, il est toutefois sensible aux impacts et aux vents forts. Le choix courant reste le portail en aluminium : solide, il offre une meilleure résistance que le PVC. Il permet une grande variété de couleurs et de styles, mais sera en moyenne plus onéreux que les autres matériaux.
Plus classique, le portail en fer forgé peut revêtir de nombreux aspects. Mais plus le modèle sera élaboré, plus le prix sera élevé. Matériau robuste, il nécessite toutefois d’être entretenu pour éviter la rouille et la corrosion. Un portail en acier galvanisé sera un bon compromis, pour réduire l’entretien. Enfin, matériau naturel doté d’une excellente robustesse, le portail en bois résiste mieux aux conditions extérieures, grâce aux traitements reçus lors de sa fabrication. Il faudra toutefois l’entretenir avec des produits adaptés (lasure, peinture bois). Comme solution intermédiaire, vous pourrez choisir un portail en aluminium d’aspect bois.
Choisir les bonnes options
L’installation d’une motorisation sur portail coulissant est l’option confort, le portail motorisé étant commandé à distance, via une télécommande. Mais vous pourrez toujours ouvrir votre portail manuellement. Opter pour un portail coulissant avec portillon intégré vous dispense de l’ouverture et de la fermeture systématique du portail, pour le passage des personnes à pied. Vous pourrez également installer un visiophone, afin de contrôler à distance l’accès des visiteurs.
4. Poser un portail coulissant, étape par étape
Avant de poser son portail, le terrain doit être prêt : il faudra veiller à l’aplanir, ou combler les trous éventuels. Quelques travaux de maçonnerie pour le portail coulissant sont à prévoir, notamment la réalisation d’un seuil en béton, destiné à recevoir le rail et les piliers. La plaque de guidage sera quant à elle installée sur le mur ou le pilier du portail coulissant. Dans le cadre d’une pose de portail coulissant motorisé, ou en prévision d’une motorisation future, il faudra poser des gaines pour les câbles.
Commencez par l’installation du rail : aidez-vous d’une corde tendue et d’un niveau à bulle, pour une pose bien droite. Utilisez une perceuse à percussion pour percer, mettez en place les chevilles, puis insérez les vis. Installez la plaque de guidage, posez le portail sur le rail, et maintenez-le en place (avec l’aide d’une personne, ou en le calant). Manipulez le portail, pour vous assurer que la plaque de guidage est bien installée. Vous pouvez alors procéder à la fixation du portail. Posez ensuite la butée arrière, en vous assurant que l’ouverture du vantail est toujours complète. Il ne reste qu’à poser la serrure, et la gâche (veillez à fermer le portail avant sa fixation).
Référez-vous également au schéma de pose du portail coulissant que vous aurez acheté.
La pose du portail coulissant étant assez technique, vous pouvez faire appel à une entreprise spécialisée.
Lorsqu’on souhaite réaliser des travaux manuels chez soi qui nécessitent des équipements spécifiques, il n’est pas toujours évident de savoir par où commencer. Si vous devez mener à bien des travaux en hauteur pour lesquels une échelle ou un escabeau ne seront pas suffisants, investir dans un échafaudage de qualité vous permettra de compléter efficacement votre attirail et de bricoler confortablement. Utiliser ce genre de matériel peut paraître intimidant, mais si les différents éléments sont en bon état et estampillés « Norme Française » et que vous respectez les règles de sécurité et de montage, vous n’avez rien à craindre. Voici ce dont qu’il faut savoir avant de se lancer dans le bricolage sur un échafaudage.
Aperçu des différents types d’échafaudage disponibles sur le marché
Il existe évidemment de nombreux modèles d’échafaudage différents, chacun répondant à un besoin ou un budget spécifique. Les échafaudages se divisent généralement en deux catégories : ceux qui sont « fixes » ou « de pieds » et donc plus adaptés aux gros chantiers, et ceux qui sont « mobiles » et donc dotés de roulettes que vous pourrez bien entendu bloquer pendant que vous travaillerez. C’est un choix qui s’avère plus pratique si vous devez vous déplacer sur une surface plus ou moins large.
On peut également distinguer l’échafaudage pliant de l’échafaudage suspendu. Le premier est très pratique à utiliser si vous évoluez sur de petites surfaces et ne disposez pas de beaucoup d’espace de rangement : replié, il pourra facilement être stocké jusqu’à sa prochaine utilisation, sans encombrer votre espace de vie. Le second demande un peu plus de patience au niveau du montage et sera fixé depuis le toit d’un bâtiment. Il est réservé aux gros travaux car il est capable de supporter de lourdes charges. Il s’agit du modèle parfait si vous devez rénover une toiture, nettoyer de grandes baies vitrées ou encore aménager une charpente.
Pour bien choisir le type d’échafaudage qui vous conviendra, pensez à prendre en compte le poids maximal que vous devrez lui faire supporter, ainsi que ses dimensions. En effet, selon que vous l’utiliserez pour des travaux de toiture ou un ravalement de façade, vous n’opterez pas forcément pour le même modèle.
Comment monter un échafaudage ?
Le montage d’une telle structure n’est pas à prendre à la légère car il faut respecter un certain nombres d’étapes cruciales pour ensuite pouvoir travailler en toute sérénité. Comme le feraient des professionnels de l’échafaudage, renseignez-vous comme il faut sur les différentes règles à respecter avant de vous attaquer au montage.
Pour faire simple, l’échafaudage se compose de deux parties : d’une base (généralement constituée d’éléments métalliques) et d’éléments modulables qui s’ajoutent les uns aux autres pour élever la structure. Ensuite, on procède par pallier : assurez-vous de placer la structure de l’échafaud sur une surface stable et plutôt dure pour éviter qu’il ne s’enfonce dans un sol boueux par exemple. Évitez autant que possible les descentes de garage ou toute autre étendue qui ne serait pas plane. Vous devrez aussi mettre en place des stabilisateurs qui empêcheront toute la structure de basculer une fois que vous serez en hauteur (ces derniers sont très souvent fournis avec l’échafaudage). Puis, placez les différentes planches bien à l’horizontal pour créer des plateformes stables et sécurisées : vous aurez ainsi un plan de travail solide dont vos outils ne glisseront pas à la première occasion.
Lorsque vos bases de travail sont bien établies et que vous avez correctement bloqué les roues en cas d’échafaudage mobile, veillez à bien installer le garde-corps. Cette barrière métallique qui entoure les planches horizontales vous permettra d’éviter tout risque de chute pendant vos travaux et doit impérativement être installé avant de grimper. Enfin, vous devrez installer des barres transversales entre chaque pallier pour bien consolider la structure dans son ensemble et éviter qu’elle ne s’effondre.
Évoluer en toute sécurité sur un échafaudage : les conseils à suivre
Si vous n’avez jamais travaillé sur un échafaudage auparavant ou que vous ne comptez pas dans votre entourage des professionnels de l’échafaudage, quelques règles de sécurité s’imposent. Pas de panique cependant, il est tout à fait possible de bricoler chez soi avec ce genre d’équipement, pour peu que l’on respecte quelques pratiques de bon sens. Ce sont notamment les chutes qu’il convient d’éviter car elles peuvent avoir des conséquences sévères. Pour certains travaux, un échafaudage intérieur est hautement recommandé, lisez notre article : Poser du papier peint dans un escalier pour plus d’informations.
Il est nécessaire de rappeler qu’en cas de chantier extérieur, l’échafaudage ne doit pas être utilisé lorsque les conditions météorologiques ne sont pas favorables : lorsque de violentes bourrasques ou de fortes chutes de pluie font rage, remettez vos travaux à plus tard. Si possible, appliquez un périmètre de sécurité autour de la structure de base pour éviter tout passage inutile trop près de l’échafaudage, notamment si vous avez des enfants ou des invités.
Lorsque vous démarrez vos travaux, n’escaladez pas l’échafaudage par l’extérieur : les barres diagonales ne sont pas prévues à cet effet ! Faites en sorte d’avoir vos outils à portée de main pour éviter d’avoir à monter et descendre sans cesse : une ceinture spéciale dotée de poches, également appelée ceinture à outils, vous sera très utile. De même, optez pour des chaussures de sécurité aux semelles adhérentes pour éviter les risques de glissade. Si vous travaillez sur la toiture, un casque et un harnais, pour vous accrocher au garde-corps, sont recommandés.
Il existe toujours une charge maximale qu’un échafaud est capable de supporter; veillez à ne pas la dépasser sous peine de voir toute la structure s’effondrer. Cela inclus non seulement le matériel mais aussi le nombre de personnes qui travailleront avec vous. Enfin, gardez à l’esprit qu’un échafaudage est fait pour vous accompagner lors de vos travaux : n’attendez pas de devoir vous contracter dans tous les sens avant de le déplacer, vous devez accéder facilement à votre zone de travail.
Avec toutes ces clés en main, vous pouvez désormais opter pour le type d’échafaudage qui conviendra le mieux aux rénovation et bricolage que vous souhaitez entreprendre chez vous. Assurez-vous simplement de bien suivre ces quelques conseils et règles de sécurité pour travailler en toute sérénité et ne pas vous mettre en danger vos proches et vous-mêmes.
En anglais, le salon s appelle le living room, car c’est la pièce où nous passons le plus de temps éveillés. Nous nous y relaxons, recevons des invités, mangeons, parfois même dormons… Autant dire que son aménagement se doit d’être optimal en fonction de vos goûts mais aussi de vos besoins propres.
Gérez le volume de votre salon
Chaque habitation, maison ou appartement, possède un salon de volume différent. Chez certains, il ne fait que 4 mètres sur 4, chez d’autres il dépasse allègrement les 40m2. Si une règle d’or est d’adapter le nombre et la taille des meubles au volume du salon, son aménagement dépend aussi de vos envies. Un petit salon bien rempli peut offrir une ambiance chaleureuse style cocooning, tandis qu’une salle quasi vide peut offrir des possibilités intéressantes, pour danser par exemple.
Comme point de départ, de nombreux professionnels proposent d’utiliser le canapé. C’est le meuble le plus emblématique du salon par son aspect relaxant, invitant, voire pratique s’il se transforme en lit d’appoint. Choisissez bien sa couleur, ses motifs et, aussi, sa matière. La position du canapé dans la pièce peut être déterminante pour votre vie : face à une fenêtre pour profiter de la lumière du jour, face au meuble télé, dans un coin confortable, ou même au milieu de la pièce pour la séparer en deux volumes distincts (un volume « salon » et un volume « salle à manger » ou, pourquoi pas, « chambre de bébé » ?).
Eclairez votre vie dans le salon
Le travail sur la lumière doit s’accorder avec la gestion des volumes. La première lumière doit être celle du jour, entrant par les fenêtres ou les baies vitrées. Evitons de les obstruer par une étagère. Une idée concrète est d’installer le volume « salon », délimité par le canapé et les fauteuils d’appoint juste devant les fenêtres afin de profiter au maximum de la lumière.
Pour les pièces de volume important, il s’avère intéressant d’installer des éclairages séparés, par exemple avec deux plafonniers à allumage indépendant. Choisissez de préférence des lumières chaudes. Des lampes d’appoint (posées au sol, sur les meubles ou appliques murales) peuvent être disposées autour d’un sous-volume afin de créer une ambiance séparée dans un endroit qui vous est spécifique, par exemple autour d’un coin lecture. En plus de créer de l’ambiance, cette méthode vous permet d’économiser de l’électricité, surtout si vous optez pour l’éclairage LED.
Ainsi vous pouvez moduler l’intensité de l’éclairage en fonction de vos besoins : calme, localisé et chaleureux pour se détendre le soir, ou puissant et omniprésent pour une fête d’anniversaire, ou tout simplement faire le ménage.
Les murs colorent la lumière
Si le soleil ou les lampes offrent une lumière chaleureuse, la couleur des murs aura une influence majeure sur l’esprit des lieux. Votre choix de couleur dépend de vos priorités : pour travailler le volume, les couleurs claires agrandissent l’espace tandis que les couleurs sombres le rétrécissent. Par exemple, un plafond sombre incrusté de spots lumineux permet de créer un endroit accueillant, chaleureux et tendance. Découvrez notre article les différents types de plafonds originaux pour votre intérieur . Mais peut-être préférez vous des couleurs qui s’accordent à vos goûts : beige pour la neutralité, jaune pour la prise de décisions, rouge pour la productivité, bleu pour la créativité et vert pour la détente. Et pourquoi ne pas oser le noir pour l’originalité ou le violet pour la spiritualité ?
Avec un peu d’imagination, vous pouvez peindre des murs d’une couleur différente afin de marquer des espaces spécifiques pour le volume « salle à manger », « chambre d’enfant » ou, mode oblige, « coin bureau » pour le télétravail. Saviez-vous que l’orange est la couleur de la communication ?
Meublez les espaces
A présent que vos espaces sont définis, éclairés et colorés, pensez à les meubler en fonction de l’usage que vous en ferez. Quelles sont vos priorités du moment ?
Dénominateur commun, l’espace salon s’articule autour d’une table basse. Elle peut être pratique et angulaire avec un plateau de rangement, ou arrondie et en verre pour un style moderne.
Le canapé doit lui aussi posséder son style : canapé droit ou canapé d’angle ? Avec une simple méridienne pour se reposer ou plutôt un meuble symétrique pour accueillir de nombreux visiteurs ? Après, il ne reste plus qu’à poser les fauteuils ou canapés d’appoint afin de délimiter l’espace, avec ou sans le meuble télé selon vos envies. Rien de tel qu’un fauteuil club tissu pour compléter l’ensemble, et il en existe même pour les enfants, à voir ici.
L’espace autour de la table basse peut être restreint pour une ambiance rapprochée propice à la communication, ou large pour offrir des possibilités de mouvement. Si vous avez des petits enfants, cet espace pourra leur servir de terrain de jeux sur un confortable tapis (pas trop cher !) où vous pourrez les garder à l’oeil. Pour le télétravail, vous pouvez aussi aménager un petit coin bureau, de préférence derrière le canapé principal, avec son éclairage propre. Un panneau ou une étagère peut le cacher afin de respecter la séparation vie privée/vie professionnelle.
Apportez les touches finales
Meublé et éclairé, votre salon ne demande plus qu’à prendre vie. Vous avez sûrement déjà une panoplie de décorations à poser sur les meubles, et des plantes à caser dans chaque recoin, ou même au milieu de la pièce pour contribuer à séparer les espaces. Mais les murs restent désespérément vides… C’est là qu’interviennent les cadres et autres décorations murales.
Ici, votre personnalité a de nouveau l’occasion de s’exprimer. Vous pouvez opter pour des tableaux (ou assiettes ?) dont le style s’adapte à votre salon (rétro, moderne, nature…) ou à votre sensibilité artistique, ou bien pour des portraits de famille, des photos de vacances, des souvenirs du monde entier. Sachez juste que plus un mur est grand, plus il a besoin de décoration, mais que ce soit un cadre géant ou un ensemble de petits cadres disposés selon un motif amusant, cela ne dépend que de vous. Faites juste attention à l’agencement des couleurs : similaires pour les renforcer discrètement, complémentaires pour harmoniser, ou dissonantes pour choquer et initier des conversations !
Si la couleur des murs vous intrigue, n’en oubliez surtout par celle des canapés. Le simple fait de disposer des coussins à la couleur ou aux motifs bien choisis peut complètement transformer l’ambiance de votre pièce de vie. Certains portent même des messages, pour exprimer en permanence votre personnalité.
La moquette est un revêtement de sol sur lequel il est agréable de marcher, source de confort. Mais pour la garder propre, en bon état, et éviter les problèmes de santé tels que les allergies, il faut veiller à l’entretenir fréquemment. Lisez notre article sur savoir entretenir vos tapis et moquettes. Les moquettes sont en effet des nids à poussière, et un refuge pour les acariens. Nettoyer une moquette est plus contraignant que d’autres revêtements, et il est parfois difficile d’éliminer certaines taches. Voici quelques astuces simples pour entretenir une moquette soi-même.
L’entretien régulier des moquettes
Le dépoussiérage hebdomadaire
Pour éliminer efficacement les poussières et saletés qui se logent dans la moquette, il est recommandé de procéder à un dépoussiérage régulier. Il conviendra donc d’aspirer ce revêtement au moins deux jours par semaine. Veillez à baisser la puissance de votre aspirateur, et à suivre la direction des fibres de la moquette, pour les préserver.
Le nettoyage à sec pour lutter contre les acariens
Nettoyer la moquette à la vapeur est un bon moyen d’action contre les acariens. Il convient de renouveler l’opération chaque année, à plusieurs reprises. Mais le nettoyage de moquette avec vapeur n’est pas toujours adapté, selon le type de fibre qui la constitue. On préférera alors s’orienter vers un nettoyant de moquette à sec.
Voici une astuce de grand-mère pour nettoyer une moquette au bicarbonate : il convient de répandre sur tout le revêtement du bicarbonate de sodium. Il ne faut pas hésiter à brosser la moquette, pour que la poudre s’insinue bien entre les fibres. On laisse ensuite idéalement agir une nuit entière (ou au moins une heure). Puis, il s’agira simplement d’aspirer le bicarbonate à l’aide de votre aspirateur. Pour garder une moquette saine, on effectuera cette opération au moins deux fois par an, voire chaque mois selon l’état du revêtement.
Star du nettoyage à sec, le bicarbonate de soude est un produit polyvalent : il permet de désodoriser votre moquette naturellement, et de lui donner une seconde jeunesse.
L’entretien des moquettes en sisal et jonc de mer
Les moquettes en fibres naturelles sont des revêtements plus sensibles, surtout s’ils n’ont pas reçu de traitement spécifique lors de leur fabrication. Comme pour les autres types de moquette, l’entretien du sisal ou du jonc de mer doit être hebdomadaire, en passant l’aspirateur pour le dépoussiérer. Il convient de nettoyer ces moquettes chaque année, au moins tous les six mois, à l’aide d’un nettoyant pour moquette à sec. Surtout pour le sisal qui craint les liquides, une moquette en jonc de mer étant moins sensible à l’eau. On pourra également procéder à l’imperméabilisation du sisal, en achetant un produit adapté.
En cas d’accident avec un liquide sur une moquette en sisal, il convient de l’absorber sans attendre avec un torchon sec ou de l’essuie-tout, pour éviter une tache. Il faudra ensuite procéder à un séchage au sèche-cheveux (réglé sur « froid »). On évitera les produits d’entretien liquides ou agressifs, qui risquent de tacher ou de causer une décoloration du sisal.
Le nettoyage des taches sur une moquette
Éliminer une tache tenace
Nettoyer une tache de moquette, récente ou non, est possible même avec des produits naturels. Comment faire ? On va recouvrir la tache à éliminer de bicarbonate de sodium. Puis nettoyer la moquette au vinaigre blanc : on pourra répartir le vinaigre blanc sur le bicarbonate à l’aide d’un vaporisateur ; ce mélange va produire de la mousse. Laissez la solution agir plusieurs heures. Une fois sèche, brossez la tache. Il suffira enfin d’aspirer les résidus de bicarbonate.
Le nettoyage d’une moquette en laine
Comment nettoyer une moquette en laine ? L’entretien d’une moquette en laine doit être effectué à plusieurs reprises au cours de l’année. L’astuce qui demande le moins d’efforts consiste à se servir d’une shampouineuse pour moquette ; cet appareil permet un nettoyage efficace en profondeur.
On pourra aussi nettoyer la moquette à la main, en utilisant un mélange de savon et d’eau froide. Nettoyez la surface à l’aide d’une éponge. Pour enlever le savon, passez un chiffon ou une éponge humide. Enfin, absorbez l’eau en tamponnant avec un chiffon sec, ou utilisez un sèche-cheveux (position air froid). Veillez à ne jamais mouiller abondamment la moquette. Autre possibilité : nettoyer la moquette au vinaigre blanc et à l’eau froide. Frottez doucement les taches à l’aide d’un chiffon imbibé de ce mélange. Laissez sécher, il n’y a pas besoin de rincer.
La terre de Sommières
Un autre truc de grand-mère pour nettoyer une moquette : la terre de Sommières. Cette poudre détache naturellement. Saupoudrez-la sur une tache, et attendez quelques heures pour qu’elle fasse effet. Frottez ensuite à l’aide d’une brosse, puis passez l’aspirateur. Laissez agir plus longtemps (au moins un jour entier), pour éliminer des taches plus tenaces.
Réaliser soi-même son shampoing pour moquette
Pour éviter d’utiliser des produits nocifs, on pourra fabriquer un shampoing pour moquette « maison », également adapté au nettoyage des tapis. Cette solution économique présente des performances comparables aux produits du commerce.
Dans le contenant de votre choix, mélangez 200 g de bicarbonate de soude avec les huiles essentielles suivantes : 1 ml de citron, 1 ml de cannelle, et 2 ml de lavande. Laissez cette solution reposer un jour entier. Répartissez-la sur la surface à nettoyer, et laissez agir au moins quinze minutes avant de passer l’aspirateur.
Vous l’aurez compris à travers ces astuces, le bicarbonate de sodium est le principal allié pour entretenir une moquette soi-même facilement.
Avant le déménagement, l’étape incontournable consiste à emballer ses affaires. Faire ses cartons nécessite une bonne organisation et un matériel adéquat. Pour éviter la casse pendant le transport, il faudra s’équiper de cartons adaptés.Retrouver tous nos conseils pour bien emballer vos objets dans nos article: Des conseils pour bien emballer
On utilisera un carton spécial déménagement correspondant au type d’objet à ranger. Quelle taille de carton choisir ? Vous pouvez demander conseil auprès de spécialistes du carton de déménagement, et vous appuyer sur notre dossier, pour sélectionner les bons emballages. Les dimensions des cartons pouvant varier selon les fabricants, elles sont données à titre indicatif.
Quelle taille de carton choisir pour les objets fragiles ?
Il existe des cartons spéciaux d’emballage pour la vaisselle. Le carton de vaisselle existe dans différents formats, selon le nombre de verres ou d’assiettes à emballer. Les cartons à verres comportent des croisillons, pour éviter qu’ils ne s’entrechoquent. Par exemple, un carton mesurant 35 cm de longueur, sur 27 cm de largeur, et 30 cm de hauteur, pourra contenir 24 verres. Il existe même des cartons permettant de ranger plus de 100 verres (mesurant 45 cm x 45 cm x 73,5 cm), si vous avez beaucoup de vaisselle à transporter.
Le carton de déménagement pour assiettes est doté d’alvéoles. Ce type de compartiment protège l’assiette contre les chocs. Un tel carton contiendra généralement 24 rangements (pouvant accueillir chacun une ou deux assiettes), pour une taille de 45 cm x 45 cm x 56,5 cm. Vous pouvez aussi opter pour un carton double rangement, dont les compartiments peuvent accueillir environ 50 assiettes et 25 verres, au format suivant : 45 cm x 45 cm x 73,5 cm.
Certains cartons peuvent contenir des bouteilles, et sont consolidés à cet effet. Vous trouverez notamment des emballages pour 12 bouteilles de 0,75 L, au format 42 cm x 32 cm x 44 cm. Veillez également à bien emballer vos bibelots à l’aide de papier bulle s’ils sont fragiles, pour bien les protéger.
Quels cartons de déménagement renforcés utiliser ?
Pour déménager des choses lourdes, il convient de choisir des cartons suffisamment consolidés pour résister à un certain poids (à double cannelure). Ces cartons de déménagement renforcés auront un plus grand format (60 cm x 40 cm x 40 cm), et pourront résister à un poids de 70 kg. En raison de leur taille, ils peuvent contenir plusieurs affaires, et donc limiter la quantité de cartons à transporter. Mais n’oubliez pas qu’en chargeant davantage un carton, celui-ci sera aussi plus lourd ; déménager seul ses cartons pourra ainsi demander plus d’efforts.
Les cartons de déménagement pour les livres seront de préférence consolidés par une cannelure. Concernant la taille d’un carton de livres, un carton de déménagement 40 x 30 x 30 pourra résister à un poids de 30 kg. Mais un carton d’un tel poids complique le transport. Mieux vaut alors ranger des livres dans un carton moins volumineux (taille du petit carton : 35 cm x 27 cm x 34 cm).
Quel emballage adopter pour les vêtements et autres affaires ?
Pour emballer les habits en évitant le risque de froissage, il existe un contenant spécifique : le carton penderie, carton de grande taille équipé d’une barre pour suspendre les vêtements sur des cintres. Le format classique est de 50 cm x 50 cm x 100 cm. Il peut contenir environ 30 habits. Si vous devez ranger davantage de vêtements, ou s’ils ont une longueur plus importante, optez pour le modèle au-dessus. Les mesures d’un carton pouvant accueillir environ 40 habits sont de 52 cm x 50 cm x 120 cm. Les cartons penderies sont renforcés, pour résister au poids des vêtements. Une ouverture sur le côté permet un rangement facilité.
Pour vos autres affaires, qui ne sont pas sensibles à la casse (ustensiles de cuisine, jouets des enfants, outillage, et autres objets divers), le carton 55x35x30 est le format standard. Il peut résister à un poids de 30 kg, grâce à son renforcement.
Quel volume de cartons prévoir ?
Après les dimensions des cartons, il reste à déterminer leur volume. Établissez une liste des objets à emballer, pour estimer vos besoins en cartons de déménagement. Pour vous aider à effectuer ce calcul, il existe plusieurs outils de simulation en ligne. Vous pouvez également demander l’avis de spécialistes du carton de déménagement.
Une autre solution consiste à réaliser soi-même une estimation du volume de cartons standards de déménagement nécessaire, en fonction de la surface de votre habitation (ou du volume de vos pièces). Le calcul se base sur une taille de carton standard (carton 55x35x30 cm). Pour une surface habitable de cinquante mètres carrés (soit un volume d’environ 25 m3), il faudra s’équiper d’au moins 25 cartons. Une surface d’environ trente mètres carrés ne nécessitera qu’une quinzaine de contenants. Pour vingt mètres carrés (soit environ 10 m3), prévoyez environ 10 cartons. Au-delà de cent mètres carrés, il faudra prévoir plus de 50 cartons.
Un calcul plus simple encore se base sur le nombre de cartons par individu : on estime qu’il faut environ 20 cartons pour un adulte, et la moitié pour un enfant. Nous vous proposons également une calculatrice pour calculer le volume de votre déménagement
N’hésitez pas à dresser une liste des cartons de déménagement dont vous aurez besoin. Vous pouvez guetter les bons plans pour bénéficier de cartons de déménagement gratuits, opter pour la récup, ou acheter des lots de cartons de déménagement pas chers.
Le déménagement est synonyme de nouveau départ. Il constitue aussi une occasion de trier vos affaires et de mettre de côté tout ce qui vous semble inutile pour cette nouvelle … Lire plus
Une fuite d’eau n’est jamais agréable. Aussi petite qu’elle soit, elle est avant tout synonyme de gaspillage d’eau. Cela peut également signaler un problème plus important au niveau de votre … Lire plus
Au fil des années, le coût de l’électricité n’a cessé d’augmenter ; aussi, les particuliers recherchent l’autonomie énergétique. Différentes possibilités permettent de produire sa propre énergie, nous avons consacré un article à ce sujet, vous pouvez le consulter si cette thématique vous intéresse: Produire son énergie. Le développement des énergies renouvelables étant encouragé par l’État au moyen d’aides publiques, l’énergie solaire est de plus en plus exploitée. La solution photovoltaïque étant devenue plus abordable, elle séduit de nombreux Français. Comment être indépendant en électricité ? Produire de l’énergie grâce au panneau solaire installé chez soi, et la consommer directement, c’est le principe de l’autoconsommation photovoltaïque. Faisons le point sur cette solution.
Cette solution consiste à produire son électricité pour sa consommation, chez soi. L’autoconsommation photovoltaïque utilise l’énergie solaire pour générer de l’électricité. On peut revendre tout ou partie de sa production électrique. On parlera d’autoconsommation électrique, si l’on consomme toute l’électricité, ou qu’on ne la revend que partiellement. Une revente complète exclut la notion d’autoconsommation. Pourquoi l’autoconsommation ? Cette solution présente l’avantage majeur de diminuer sa facture énergétique, en n’achetant pas son électricité au réseau public.
Autoconsommation totale ou autoconsommation partielle
L’autoconsommation avec revente du surplus signifie que vous vendez directement à un acheteur votre énergie électrique produite en trop, que vous n’utilisez pas pour vos propres besoins. Elle sera ainsi injectée sur le réseau public. Cette solution permet de rentabiliser l’investissement de départ pour l’installation photovoltaïque. Pour bénéficier des aides publiques, le dispositif doit avoir été posé par une entreprise agréée. L’acheteur de la production électrique excédentaire, s’assure ainsi que l’installation est conforme. Ce système de l’obligation d’achat, en cas d’excédent de production, impose de formaliser ce rachat en concluant une convention spécifique avec l’acheteur.
Ce type d’autoconsommation partielle permet de réduire sa facture d’électricité de moitié, sans pour autant devoir en consommer moins. En effet, votre installation va générer l’électricité qui alimentera immédiatement votre habitation. Bien que vous soyez autonome en électricité dans votre maison, sachez que si vous n’en produisez pas suffisamment, le réseau public viendra immédiatement prendre le relais, en complément de votre installation photovoltaïque. Ainsi, vous n’aurez pas à installer des batteries pour compenser le manque, ni à changer vos habitudes pour consommer moins.
L’autoconsommation totale n’implique pas la fin de son abonnement, ni de son raccordement au réseau électrique public. L’autoconsommation totale est une autoconsommation avec injection gratuite de la production excédentaire, sur le réseau public. Cette solution permet certes une baisse du coût de l’électricité, mais en cas de surproduction, l’excédent ne peut pas être vendu. Il faut alors veiller à ce que le dispositif d’autoconsommation ne soit pas trop puissant, pour suffire à votre consommation, tout en limitant l’excédent injecté à titre gracieux sur le réseau.
L’autoconsommation intégrale permet aux particuliers de procéder eux-mêmes à la pose de leur kit solaire chez eux, à l’emplacement qu’ils souhaitent (photovoltaïque au sol, sur le toit, etc.)
Qu’est-ce qu’un kit photovoltaïque ?
Le kit photovoltaïque en autoconsommation
Un kit solaire pour l’autoconsommation désigne généralement une installation photovoltaïque posée par un particulier, pour sa propre consommation électrique. Mais cela peut également désigner le dispositif installé par un professionnel agréé. L’énergie solaire captée par le dispositif est convertie en électricité, et ce kit photovoltaïque permet une autoconsommation directe chez soi.
L’autoconsommation intégrale, comme vu précédemment, vise une consommation complète de l’électricité générée, sans revente. Cela implique toutefois d’être raccordé au réseau public, en cas de production excédentaire. Dans cette solution, le kit est posé soi-même. En autoconsommation avec vente du surplus, là encore, il faut un raccordement au réseau, et l’installation est réalisée par un professionnel qualifié.
Nous venons de voir les solutions en matière de photovoltaïque avec raccordement, mais il existe des sites indépendants du réseau. En effet, dans le cas d’une autoconsommation intégrale dans un site isolé du réseau public (non raccordé), il faudra un kit solaire autoconsommation avec batterie, permettant l’autonomie énergétique. L’avantage est de produire son électricité sans dépendre d’un fournisseur.
Le matériel à installer
La production d’électricité chez un particulier requiert l’installation à son domicile, d’un kit solaire complet en autoconsommation. Il faudra veiller à se doter d’un bon équipement.
Ce kit comporte plusieurs éléments : les panneaux solaires sont des capteurs qui convertissent la lumière du Soleil absorbée en électricité. Viennent ensuite les éléments de fixation, pour attacher ces panneaux à la toiture. Ces derniers se posent sur les tuiles, vous n’aurez donc pas à les retirer. Il y aura également des capteurs à intégrer à votre armoire électrique, permettant de mesurer votre consommation. L’armoire relie l’installation photovoltaïque à l’ensemble des appareils électriques de votre maison. La box d’autoconsommation fournie, est un outil pour gérer efficacement son énergie électrique. Des micro-onduleurs ou onduleurs solaires viendront convertir l’énergie issue des panneaux en courant alternatif, pour alimenter votre maison.
Est-il plus intéressant d’installer son kit solaire soi-même ?
Le choix va dépendre de plusieurs éléments. D’abord, du but recherché : si l’on souhaite amortir son installation, autant s’orienter vers des panneaux solaires installés par une entreprise qualifiée. En effet, dans ce cas, le dispositif sera éligible aux aides financières (prime à l’autoconsommation photovoltaïque, et obligation d’achat pour le surplus produit, notamment).
On pourra aussi installer les panneaux solaires soi-même, pour économiser le coût d’installation. Mais ce choix ne permettra pas de bénéficier des aides publiques, car elles sont soumises à une pose effectuée par un installateur agréé. En outre, c’est une démarche qui relève de l’autoconsommation intégrale, ne permettant pas de revente au réseau. Pour limiter la surproduction, il faudra donc bien faire attention à la puissance de son kit, et effectuer un calcul de son autoconsommation photovoltaïque, pour mieux la maîtriser.
La décision pourra également dépendre de vos talents en matière de bricolage : effectuer la pose d’un kit photovoltaïque requiert des précautions et un peu de technique. À défaut, des accidents et dysfonctionnements pourraient survenir, et causer des dommages matériels, voire corporels. Bien que les notices explicatives de ces dispositifs soient en principe faciles à comprendre, la réalisation doit toutefois être maîtrisée. Contrairement à une pose effectuée par une entreprise agréée, l’installation par un particulier ne sera pas couverte par la garantie décennale.
Dans le cadre de l’installation d’un kit solaire effectuée soi-même, une déclaration d’autoconsommation photovoltaïque devra être effectuée, au moyen d’une convention d’autoconsommation sans injection. En outre, le fait d’installer des panneaux solaires sur le toit est soumis à une déclaration préalable de travaux, à effectuer auprès de la mairie. Dans le cas d’une installation sur le sol, en fonction de sa hauteur et puissance, le dispositif pourra également être soumis à cette autorisation d’urbanisme. Enfin, les installations photovoltaïques sont soumises à un contrôle de conformité électrique par un organisme spécifique : le Consuel.
Choisissez bien votre type d’installation, en fonction de ces renseignements.
Quand le besoin d’espace ou d’une pièce supplémentaire se fait sentir, mais que l’on souhaite s’épargner un déménagement, l’agrandissement devient la solution idéale. Il permet en outre d’augmenter la surface habitable, qui constitue un point fort à mettre en avant en cas de vente. Mais quel type d’extension de maison choisir ? On pourra opter pour une simple véranda si l’on envisage une extension plutôt dirigée vers l’extérieur. Si ce sujet vous intéresse, vous pouvez consulter notre article: La véranda, une solution d’extension de maison idéale et ingénieuse. Aujourd’hui, l’extension en bois connaît un vif succès, car elle présente de nombreux avantages, par rapport à d’autres matériaux de construction. Voici un petit tour d’horizon, avant de se lancer dans ce projet :
Les multiples avantages des extensions en bois
Le charme du bois pour un agrandissement de maison
L’un des atouts majeurs des extensions en bois est leur aspect naturel, qui confère beaucoup de charme à une maison. Le bois est un matériau noble, qui offre un style à la fois authentique, et dans l’air du temps. Il peut être travaillé de différentes façons, pour obtenir plusieurs design. Réaliser un agrandissement en ossature bois et bardage bois, pourra conférer un véritable changement esthétique à une habitation.
Au niveau des finitions, le bois pourra rester naturel, être recouvert de peinture, ou de verni, selon le rendu souhaité. Les différentes essences de bois pouvant être utilisées, offrent des rendus aux nuances variées ; mais toutes ne vieillissent pas de la même manière. On prêtera donc attention au choix du type de bois à utiliser, dans un souci esthétique.
Une extension à l’architecture modulable
Le bois a l’avantage de pouvoir s’associer à n’importe quels matériaux de construction. Il faut donc oser les différences d’architecture entre l’existant et l’agrandissement, avec chacun leurs matériaux ou design propres, pour apporter du style et de la modernité à l’ensemble de l’habitation. On pourra ainsi construire une extension en bois sur une maison en parpaing, par exemple. Réaliser l’extension en bois d’une maison ancienne pourra lui donner une note contemporaine, marquée par une différence d’aspect entre le bâtiment principal et la nouvelle construction. Choisir le bois, pour l’agrandissement d’une maison en bois, permet d’obtenir un ensemble harmonieux, le matériau de l’extension se confondant avec celui de l’existant.
Ces possibilités valent également pour l’espace intérieur créé par l’extension, qui pourra revêtir un style propre, ou assorti aux pièces existantes. Esthétiquement, le bois est donc un matériau idéal pour la réalisation d’un agrandissement de maison, car il s’accorde avec tous les styles. Le bois est en outre une matière naturelle facile à travailler, qui permet de réaliser des constructions uniques et variées. On pourra ainsi opter pour différentes formes d’extensions sur-mesure, tels qu’un agrandissement de maison sur le côté, ou une véranda en bois, par exemple.
Le toit d’une extension en bois peut être harmonisé avec la toiture existante, ou on pourra préférer l’extension en bois à toit plat, plus tendance. L’un comme l’autre conviennent à tous les styles de maisons, il faut simplement s’assurer que le toit soit proportionnel au bâtiment principal.
Une construction d’extension en bois simplifiée
Dès lors que l’on souhaite construire, outre l’étape des formalités, on peut s’attendre à des travaux parfois importants, et de longue durée.
Le bois étant moins lourd que d’autres matières, et facile à travailler, sa mise en œuvre est toutefois facilitée. Les étapes en amont du chantier (mesures, plans, fabrication) ont une durée plus importante que le temps de construction en lui-même. La pose est en effet simplifiée, car les différentes sections de l’extension auront été fabriquées sur-mesure auparavant, il s’agira alors de les assembler et de les fixer. Le prix d’une extension en bois est de ce fait réduit, le chantier étant moins conséquent et plus court que d’autres solutions d’agrandissement.
Comment réaliser une extension bois ? Le principe de construction réside notamment dans l’assemblage des différentes pièces fabriquées en amont (montants verticaux, traverses, bardage, etc.) et l’ajout d’autres éléments (isolant de l’ossature bois, revêtement intérieur, etc.) L’épaisseur des murs de l’extension sera généralement moins importante que les autres modes de construction utilisant des matériaux différents. Cela permet de gagner un soupçon d’espace supplémentaire.
Les inconvénients de l’extension en bois
Les propriétés isolantes du bois
Un autre avantage du bois à mettre en avant, relève de ses performances naturelles en matière d’isolation. Le bois offre ainsi une isolation thermique en hiver plus importante, et isole plus efficacement du bruit extérieur, que d’autres matériaux de construction. Mais ces propriétés isolantes ne se suffisent pas à elles-mêmes, dans le cadre d’un agrandissement de maison.
On pourra rendre l’isolation de l’extension plus performante en matières thermique et phonique, par la pose d’un autre isolant, qu’il s’agisse d’une isolation par l’extérieur, ou par l’intérieur. Pour éviter que l’extension de la maison ne devienne une fournaise en période estivale, on compensera le manque d’inertie du bois par l’utilisation complémentaire de matériaux plus performants. On obtiendra ainsi un meilleur confort thermique toute l’année, tout en économisant de l’énergie.
L’entretien de l’extension en bois
Une extension en ossature bois et/ou en bardage bois comporte peu d’inconvénients. Elle aura une durée de vie comparable à celle des autres types d’extensions, si elle est bien entretenue. Comme pour une maison en bois, l’entretien est donc le défaut à noter, mais il n’est pas insurmontable. Bien que robuste, ce matériau est toutefois sensible aux insectes se nourrissant de bois (xylophages), et à l’humidité. Il faudra donc veiller à effectuer les traitements adéquats, pour protéger le bois de ces agressions.
Les différentes essences de bois pouvant être utilisées pour construire une extension, n’ont pas la même résistance. Certaines requièrent des traitements et un entretien plus régulier, alors que d’autres vieillissent mieux. Il faudra donc veiller, encore une fois, à bien choisir son essence. L’entretien du bois est essentiel pour améliorer sa résistance dans le temps, et pour éviter un aspect défraîchi. Il ne faut donc pas le négliger, et suivre les recommandations du fabricant.
Alors, envie de vous lancer dans l’agrandissement de votre maison ? Le bois est le matériau qui s’adapte à vos envies, pour un rendu unique. N’hésitez pas à solliciter différents constructeurs, et à faire établir plusieurs devis pour votre extension en bois. Pour aller plus loin sur ce sujet, consulter notre article : Projet d’agrandissement : comment le financer ?
Avec la défiscalisation de l’immoblier, de nombreux propriétaires louent leurs biens pour se construire un patrimoine durable. L’investissement locatif est facilité par de nombreux dispositifs qui leur permettent de payer moins d’impôt. Parmi eux, citons la loi Pinel, les lois Malraux, Cosse, les résidences services en location meublée, les monuments historiques.
Types de logement et rentabilité
Les studios
Les studios sont à privilégier car ils coûtent moins cher en raison de leur petite surface. Très demandés dans les villes étudiantes et les zones d’emploi, leur taux de rentabilité est de 5 à 7 %. En revanche, les déménagements y sont fréquents, les locataires n’y restent pas plus de deux ans. Cet inconvénient implique des travaux de remise en état récurrents.
Les types 2 et 3
Ils représentent un investissement plus important car ils sont plus grands. Leur taux de rentabilité est de 3 à 5%. Par contre, le prix au mètre carré est moins élevé. Investir dans un logement de type 2 et 3 est intéressant car les locataires y restent plus longtemps. Les propriétaires peuvent en outre espérer de les revendre à un meilleur prix.
Les maisons
Leur taux de rentabilité est de 3 à 5%. En revanche, elles coûtent plus cher. Ce type de bien est très demandé et il est plus facile de trouver des locataires. Si ce sujet vous intéresse, retrouvez plus d’informations et de conseils dans notre article: Les atouts du pavillon pour réaliser un investissement locatif
Location saisonnière
Très rentable en haute saison, elle l’est beaucoup moins en basse saison. Il convient donc de privilégier la location saisonnière dans les zones touristiques. Investir dans les locations de courte durée est une possibilité. Cependant, le propriétaire ne doit pas dépasser 120 nuits par an dans une ville de moins de 200 000 habitants.
Pour vous aider dans votre choix, nous vous conseillons de consulter un comparateur immobilier. Il est à signaler qu’il existe également un comparateur considéré comme officiel « Les Notaires ». Il permet de comparer le prix de l’immobilier en fonction de la zone et du type de bien.
Comment choisir entre le neuf et l’ancien pour investir?
Avantages de l’ancien
Le premier avantage réside dans le prix. D’après les notaires, le prix d’un bien ancien en France est de 2500 euros/m2. Des variantes locales sont à noter. Le coût du m2 est de 2000 euros à Angers, Le Havre, Dijon, Nancy, Nîmes, Poitiers, St Étienne. Il se situe entre 2500 et 3500 euros/m2 à Nantes, Rennes, Toulouse, Strasbourg, Lille, Marseille et Montpellier. Il est de 4500 euros/m2 à Bordeaux et Lyon. Paris enregistre une valeur moyenne de 10 000 euros/m2.
D’après Stéphane Desquartiers, président de la maison de l’investisseur, l’investissement locatif dans l’ancien est plus rentable. Les locations étudiantes et les meublés ont un rendement intéressant autour de 7 à 8%, en raison de leur petite surface. Par contre, les impôts à payer sont plus chers.
Avantages du neuf
Le neuf génère des économies d’impôt. La loi Pinel permet de bénéficier des avantages fiscaux et des réductions d’impôt. Les propriétaires ont en plus la possibilité de louer le bien à leur famille. Cet investissement locatif permet de réaliser des économies d’énergie. Les frais de notaires sont moins chers. Les acquéreurs ne payent pas de taxes foncières durant deux ans. Les charges de copropriétés sont moins élevées que dans l’ancien et il n’y a pas de travaux à effectuer. De nombreux acteurs proposent des programmes spécialisés où vous pourrez trouver une offre d’investissement locatif avec l’immobilier neuf
Le neuf a cependant un inconvénient : le délai de livraison. D’après la Fédération des promoteurs immobiliers, il y aurait 30 000 logements bloqués en France par les permis de construire. Il existe néanmoins des garanties qui indemnisent les propriétaires en cas de retard.
Location vide et fiscalité
Le régime du micro-foncier
La déclaration des loyers en location vide relève de deux régimes, suivant le montant annuel des loyers que vous percevez.
Un abattement de 30% s’applique sur les loyers à condition que vos loyers ne dépassent pas 15000 euros/an. Si vous déclarez 400 euros de loyer, vous êtes imposé sur 280 euros. ce régime présente un inconvénient : les dépenses relatives aux loyers ne peuvent être déduites. Si vous renoncez au micro-foncier, la location doit durer trois ans.
Le régime réel
Ce régime vous permet de soustraire vos dépenses du montant annuel des loyers et de payer moins d’impôt. Suivant votre situation, vous enregistrez un bénéfice ou un déficit foncier. En cas de bénéfice, vous payez vos impôts sur vos revenus fonciers par acompte mensuel ou trimestriel. Le déficit est affecté à votre revenu global, ce qui a pour effet de faire baisser vos impôts. Ce système est intéressant car le cumul des déficits de plusieurs logements.
Pas de salon sans table basse ! Meuble à la fois pratique et esthétique, la table basse est l’atout décoration de la pièce. La classique table de salon pour poser toutes sortes de choses, devient un élément central. Il est donc essentiel de la mettre en avant, dans l’aménagement du salon. Il faudra définir sa fonction, choisir une table basse tendance en harmonie avec le style de votre intérieur, et y placer les objets décoratifs adéquats. Voici quelques idées pour vous y aider :
Les tables basses, stars du salon
Pour bien agencer la table dans son salon, la configuration de la pièce, et le mobilier installé sont déterminants.
On placera la table devant le canapé, entourée des fauteuils, et assez loin de la télévision. La table de salon sera à distance suffisante (environ 40-50 cm) des différentes assises, pour ne pas encombrer l’espace. Concernant ses dimensions, son plateau doit être aussi haut que l’assise des fauteuils. On veillera à équilibrer les proportions du mobilier de la pièce ; un canapé volumineux n’ira pas avec une petite table basse, et inversement. Idéalement, elle sera moins longue que le canapé, de moitié.
Dans un grand salon, ou en présence de deux canapés opposés, on pourra choisir une table plus imposante. Voire multiplier les petites tables basses, rassemblées pour en former une grande, ou utilisées individuellement comme tables d’appoint. Comment placer des meubles dans un petit salon ? Idéales dans une petite pièce, les tables rondes de salon sont peu encombrantes. Les tables gigognes sont également à privilégier pour gagner de l’espace. Si l’on manque de solutions de rangement, on choisira des tables basses à tiroirs ou caissons. Pour éclairer la table, on placera un luminaire au-dessus de celle-ci.
La table basse, pratique et fonctionnelle
Il convient de définir l’utilité de la table basse.
La table de salon traditionnelle servira de meuble de rangement, ou de support pour y poser divers objets. Dans ce cas, on peut s’orienter vers un modèle pas cher de table basse avec caisson ou tiroir, ou de table basse à double plateau. Conviviale, elle peut aussi être utilisée comme table de réception, autour de laquelle se réunissent les invités. Choisissez une table qui s’ouvre avec un espace de rangement intégré, pour mettre en place l’apéritif. On pourra aussi y prendre ses repas devant un bon film, si l’on opte pour une table dont le plateau peut être relevé.
Pour ces différentes fonctions, privilégiez des matériaux faciles à entretenir.
Enfin, une table basse décorative offre une plus grande liberté : table unique, ou plusieurs petites tables basses, objets décoratifs choisis avec goût à installer dessus, etc. Pour la mettre en avant, on misera sur son design, et la qualité de ses matériaux.
La table basse tendance
Pour une table basse originale : un design moderne, un mélange des matières, ou une table basse écologique, fabriquée à base de matériaux recyclés. On pourra réaliser soi-même une table basse industrielle en récupérant des palettes, et en fixant des roulettes comme pieds. Pour un meuble unique, envisagez la table basse sur-mesure.
Au niveau des matériaux, on choisira une table basse en bois et métal au look industriel, ou une table basse en verre pour aérer l’espace. De belles tables basses en bois massif apporteront une touche d’authenticité. On trouvera aussi des tables basses design en acier, en béton, voire en zinc. Pour un style rétro, certains modèles s’inspirent des années 50.
Et pourquoi pas un pouf, qui fera office de table de salon, en plaçant un plateau dessus. Une table basse scandinave sera du plus bel effet, avec ses pieds en bois, associés à un plateau blanc à la forme épurée. La table basse gigogne est tendance, surtout aux couleurs vives. La forme des pieds et du plateau offre de multiples possibilités. On pourra dénicher une table basse rectangulaire, ronde, ovale, ou de forme atypique.
Veillez simplement à harmoniser ce meuble avec le style de la pièce et son mobilier.
Une table de salon bien décorée
Une table basse tendance pourra être sublimée, par des éléments de décoration placés sur son plateau. La déco de la table basse doit être bien pensée : les objets décoratifs seront coordonnés à la table, et adaptés aux dimensions du plateau. On veillera ainsi à ne pas le surcharger, ni à placer un seul objet, perdu au milieu d’une table imposante. Il faudra la décorer avec goût, et de façon équilibrée.
Quelles décorations sont à favoriser ? Bougies, éléments en céramique, sculpture, coupe de fruits, service à thé, objets monochromes ou dépareillés, livres, jolis vases, il y a plein de possibilités ! Pour apporter une touche de verdure, on installera de petites plantes vertes, ou un beau bouquet.
Les tables basses sont donc les meubles phares de l’aménagement du salon. Veillez à bien choisir votre table, pour donner du caractère à la pièce.
Une famille qui s’agrandit ? Des enfants qui ont besoin de plus d’indépendance ? Besoin d’espace supplémentaire pour vous adonner à votre passion pour le bricolage ou pour l’art ? … Lire plus
Tendance, la verrière intérieure est la solution idéale pour aménager un espace. La cloison verrière va séparer des pièces, sans les isoler complètement, voire créer une zone à l’intérieur d’une même pièce. Son vitrage est source de lumière, et fait le lien entre deux espaces. Discrètes, les verrières ne diminuent pas visuellement le volume d’une pièce, elles créent au contraire une ouverture. Envie d’une verrière intérieure ? La verrière atelier n’est pas la seule option ! Voici les questions à se poser, avant de se lancer :
Dans quelle pièce poser une verrière ?
La verrière de cuisine, compromis entre cuisine ouverte et cuisine indépendante, ou la verrière séparant le salon de la salle à manger, ne sont pas les seules options. Véritable caméléon, la verrière intérieure se fond dans toutes les pièces de la maison. Verrière de salle de bain, pose dans une chambre, création d’un espace bureau, ou d’un sas d’entrée, les possibilités ne manquent pas ! On pourra s’inspirer de photos de verrières, en parcourant le web ou des catalogues.
Utilisée pour apporter de la luminosité, comme séparation entre deux pièces, ou pour définir un espace dans une pièce, la verrière intérieure se veut polyvalente. La cloison verrière, même si elle isole moins du bruit que les murs, permet de garder le volume en faisant communiquer les deux espaces. Une verrière coulissante ou porte verrière, permettra d’ouvrir ou d’isoler un espace à volonté. Les verrières s’adaptent, et sont donc de véritables alliées de l’aménagement intérieur.
D’inspiration atelier d’artiste, la verrière n’est pas uniquement liée à la tendance industrielle. Elle s’adapte à tous les intérieurs, et pourra aussi bien convenir à une décoration contemporaine, qu’à un style plus classique. Sa couleur, ses dimensions, et l’endroit où elle sera posée, vont permettre de l’intégrer facilement, en cohérence avec le style intérieur.
Plutôt verrière acier ou verrière aluminium ?
La structure de la verrière peut être réalisée dans différentes matières. Il existe par ailleurs plusieurs types de vitrages. Comment choisir le matériau de sa verrière ? Il faut d’abord définir si elle sera posée dans une pièce, ou à l’extérieur de la maison. L’esthétique voulue, et le prix sont également déterminants.
Une verrière intérieure en aluminium sera très contemporaine. Solide, et moins coûteuse que d’autres matériaux, la verrière aluminium offre toutefois une isolation moins performante. On pourra y remédier avec un vitrage adapté, notamment. La verrière acier est suffisamment robuste pour soutenir des structures plus volumineuses, et convient à tous les styles. Utilisable également pour une verrière extérieure (porte de garage verrière, par exemple), l’acier est toutefois sensible à la corrosion, et devra donc être traité. Les structures métalliques, telles que la verrière aluminium ou acier, conviendront très bien à un look industriel.
La tendance étant aussi aux matériaux naturels, la verrière en bois s’intégrera parfaitement à un intérieur chaleureux. Le bois offre une bonne robustesse, ainsi qu’une isolation phonique et thermique efficace. Il est possible de le peindre dans la couleur souhaitée, la verrière peut donc évoluer avec le style de la pièce.
Le fer forgé est un matériau plutôt utilisé pour la structure des verrières sur-mesure extérieures.
Combien coûte l’installation d’une verrière intérieure ?
Bien évaluer les travaux à réaliser
L’installation d’une verrière requiert certains travaux, à intégrer dans son budget. Si l’on n’est pas un as du bricolage, il convient de solliciter des professionnels,comme par exemple un spécialiste de la menuiserie aluminium. Il faudra généralement réaliser un soubassement au préalable, voire intégrer la verrière dans un mur qui n’est pas porteur. Ouvrir un mur porteur pour y intégrer une verrière est une opération très onéreuse : il faudra débourser parfois jusqu’à 10 000 €.
Si l’on veut s’épargner les travaux, et notamment si la verrière n’a qu’une vocation décorative, on pourra s’orienter vers un modèle réalisé en panneaux au vitrage en plexiglas. La pose sera ainsi plus rapide et facile.
Prix d’une verrière intérieure
Le prix d’une verrière intérieure varie en fonction de ses dimensions, de sa conception (une verrière de style haussmannien sera plus onéreuse), et du type de matériau. La main d’œuvre et les difficultés de pose éventuelles, sont également à intégrer dans le budget, sauf à installer sa verrière soi-même. Vous pouvez également trouver des conseils pour le financement de tracvaux intérieurs pour votre résidence principale dans notre article: Projet d’agrandissement : comment le financer ?
Une structure en bois présente un très bon rapport qualité/prix, et coûtera en moyenne 800 €/m². L’aluminium sera le plus économique, au prix moyen de 600 €/m². Le prix d’une verrière en acier pourra atteindre 1 000 €/m². Le montage de verrière effectué par une entreprise a un coût très variable : certaines proposent des tarifs à partir d’une centaine d’euros (le mètre carré), et d’autres jusqu’à 800 €/m². À noter qu’une verrière intérieure en kit sera moins chère qu’une verrière sur-mesure. Installer son kit verrière soi-même sera donc la solution la plus économique.
Une simple verrière classique coûtera généralement moins de 600 €. Une cloison verrière avec soubassement pourra atteindre 1 000 €. Une porte verrière sera plus chère que les autres types de réalisations. Le coût dépend donc de la complexité de la conception, et du nombre de vitrages. En outre, plus le modèle de verrière choisi sera imposant, plus il sera onéreux.
Acheter un kit, ou réaliser une verrière sur-mesure ?
Les magasins de bricolage proposent une sélection de produits abordables, de qualité correcte. Pour un modèle unique et bien fini, la meilleure solution sera de solliciter un artisan, pour réaliser votre verrière sur-mesure.
N’hésitez pas à demander un devis gratuit pour une verrière de qualité, correspondant à votre budget !
Osier, rotin, la tendance est aux matières naturelles. Alliés de votre décoration d’intérieur, ces végétaux apportent une touche de nature, et un style chaleureux à votre maison. Utilisés en vannerie comme matériaux, ils servent à fabriquer des meubles ou des objets décoratifs, selon une technique de tressage. Vous voulez faire un panier en osier facile ? Voici quelques informations et astuces utiles :
Connaissez-vous la différence entre le rotin et l’osier ?
Ces plantes ont une origine différente : l’osier fait partie des saules, tandis que le rotin est un palmier. Selon les variétés, on obtiendra un bois aux couleurs et nuances variées.
Moins épais et moins lourd que le rotin, l’osier est aussi plus flexible, idéal pour le tissage d’objets décoratifs et de paniers. Le rotin est suffisamment robuste pour réaliser du mobilier. Sensible au soleil, le rotin craint la pluie, il est donc plus approprié pour un usage intérieur. La moelle de rotin servira généralement à fabriquer des meubles, et la canne de rotin sera utilisée pour canner des fauteuils. L’éclisse de rotin est dédiée au tressage d’éléments de décoration.
Ajoutez une touche d’osier dans votre déco
Les objets en osier ou en rotin apportent une touche de nature et de simplicité. Ils s’installent partout (avec parcimonie !), et s’adaptent à tous les styles. Les malles, coffres, et paniers en osier sont traditionnellement utilisés pour y ranger des choses. Or, ce sont de véritables objets de décoration, comme les paniers détournés en cache-pots.
La mode étant au bois brut, le mobilier réalisé à partir de ces matériaux naturels trouvera facilement sa place dans votre maison. Couffin en osier, fauteuil en rotin, banquette, ou table d’appoint, les possibilités sont vastes ! Certaines réalisations en osier ou en rotin peuvent être accrochées au mur ou suspendues : luminaire, miroir, cadre photo, etc. D’autres objets (sets, corbeilles, boules en osier ou boules en rotin de grande taille, etc.) sublimeront la déco de votre table.
Le tressage d’osier pour le jardin permet de concevoir des structures variées : cabanes en osier vivant, fabrication d’une clôture végétale, ou encore d’un treillis pour plante grimpante.
Apprenez à fabriquer un panier en osier
Pour débuter en vannerie, ou faire un panier soi-même, on trouvera facilement des fournitures et tutoriels déco DIY. Pour la fabrication de paniers en osier, il faudra acheter l’osier, du raphia, voire une peinture en aérosol.
On coupera d’abord quatre longs morceaux d’osier, avant de les recouper chacun de moitié, pour avoir 8 tiges de même taille. Pour assouplir l’osier restant, on le plonge dans un récipient d’eau. Pour réaliser la base du panier, on forme une croix à l’aide de 4 tiges, superposées sur 4 autres tiges, qu’on assemble avec du raphia. Petite astuce pour se faciliter la tâche : réaliser le fond du panier avec du fil de fer.
On espace ensuite les 8 tiges pour démarrer le tissage, en passant à chaque fois une tige humide dessus, puis dessous, et en serrant bien chaque rang. Une autre astuce consiste à débuter le tressage avec un fil électrique. On continue à tresser l’osier, en ajoutant des branches au fur et à mesure, pour obtenir un panier suffisamment haut. On ajuste en coupant ce qui dépasse, mais en laissant des bouts à replier du côté intérieur. Pour la touche finale, on pourra pulvériser de la peinture, ou fixer des décorations (perles, etc.)
Vous savez à présent comment fabriquer un panier en bois, et décorer votre intérieur avec goût, à l’aide de ces fibres naturelles.
Quand l’espace vient à manquer dans votre maison, une extension peut être plus avantageuse et plus économique que l’achat d’un nouveau logement. Il s’agit toutefois d’un investissement important qui requiert … Lire plus
Le store banne est un store extérieur, qui s’étend au-dessus de votre terrasse ou balcon. Grâce à des bras articulés, sa toile se déroule et s’enroule facilement, soit par le système motorisé d’un store banne électrique, soit manuellement. Les stores bannes protègent efficacement de la chaleur et du rayonnement ultraviolet, en créant une zone d’ombre sous leur toile. Surplombant une baie vitrée, ils offrent une bonne isolation thermique.
Contrairement au brise-soleil, ils se déploient horizontalement au-dessus d’une ouverture, et sont moins encombrants qu’une pergola avec pieds. Plus lourds qu’un store à l’italienne, ils couvrent des surfaces plus vastes. Dans la suite de notre précédent article sur les stores de terrasse, voici quelques conseils pour bien choisir et protéger son store banne :
Comment choisir son store banne ?
Les dimensions du store
L’espace ombragé que l’on va obtenir sous le store va dépendre de sa taille, mais également de facteurs extérieurs : exposition, taux d’ensoleillement, et moment de la journée.
Quelle taille de store banne choisir ? Le store devra être plus grand que la zone d’ombre voulue. On choisira un store plus large que la fenêtre ou baie vitrée qu’il couvre. Pour une très grande terrasse, il faudra s’orienter vers un store de largeur suffisante, voire installer des stores supplémentaires. Le store devra également avoir une avancée adaptée, pour bien se déployer en couvrant toute la zone voulue. Une avancée d’environ 350 cm conviendra pour couvrir une terrasse moyenne. Un store banne extérieur avec une avancée de 400 cm sera idéal pour la protection d’une terrasse plus vaste.
Pour les petites surfaces, telles qu’un balcon ou une loggia, un store se déployant à 200 cm pourra convenir.
Un store sur-mesure à personnaliser
Vous pourrez aussi choisir un store banne sur mesure, adapté à vos besoins. C’est l’option idéale pour des dimensions non standards, ou pour avoir le choix des équipements. En fonction des gammes de store banne proposées, on pourra ainsi motoriser un store banne manuel, opter pour un store banne haut de gamme avec coffre intégral, ou simplement un store monobloc. Parmi les accessoires, il sera possible d’ajouter un lambrequin en bout de toile (sauf sur un modèle à coffre), pour se protéger de la lumière rasante. Vous trouverez une large sélection de modèles aux coloris et matières variés, pour donner du caractère à votre façade.
Quelle toile pour une protection efficace ?
La matière de la toile
La toile est un élément important pour un store banne de qualité. Le coût, la tenue dans le temps, et les performances de la toile, varient selon la matière utilisée pour sa fabrication.
Le polypropylène (bon marché) et le coton, seront moins résistants. D’autres matières, offrant de meilleures performances, sont à privilégier. La plus fréquemment utilisée, est la toile acrylique teintée dans la masse. Elle présente en effet plusieurs avantages : résistance aux UV et au vent, véritable barrière thermique, déperlante, et bonne tenue des couleurs dans le temps.
Une toile micro-aérée offre également une protection très efficace contre le rayonnement et la chaleur, tout en laissant circuler l’air en-dessous. Elle ne sera toutefois pas étanche à la pluie. Parmi les stores bannes pas chers, la toile polyester sera plus économique, et résistera bien au vent. Toutefois, les rayons UV risquent de l’altérer avec le temps.
La couleur de la toile
Quelle couleur de toile pour un store banne ? L’orientation de l’emplacement où sera installé le store, doit être prise en compte. Une terrasse implantée au sud, fortement exposée au soleil, nécessitera une toile sombre (grise, noire, taupe, etc.), pour se protéger de la chaleur et des rayons UV. Des teintes plus claires pourront convenir, dans le cas d’une orientation au nord ou à l’est. Elles laisseront passer plus de lumière, pour bénéficier d’une bonne luminosité. Pour une terrasse exposée à l’ouest, des tons un peu plus foncés sont permis, voire des rayures (alternant des bandes claires et sombres).
Enfin, le choix des coloris et des motifs se fera en fonction de vos préférences (à coordonner avec le salon de jardin, par exemple).
Comment protéger les stores bannes ?
Une bonne protection du store banne lui offrira une meilleure résistance dans le temps.
Les traitements
Pour ne pas avoir à les remplacer trop souvent, la plupart des toiles des stores bannes reçoivent des traitements. Ils sont ainsi plus résistants aux intempéries. On pourra donc dénicher un store banne imperméable ou déperlant, traité contre les salissures.
Abriter son store banne en hiver
À défaut de coffre, ou d’auvent de protection pour votre store banne enroulé, installer une bâche pour le recouvrir est une solution. Il est également possible de trouver une housse de protection imperméable pour stores. Il faudra songer à retirer le lambrequin du store banne, s’il en est équipé. Cette bande est en effet très exposée aux intempéries, et se fragilise donc plus rapidement.
Le coffre : la protection optimale
Les coffres sont des équipements efficaces, pour mieux préserver son store des agressions extérieures. Le store semi-coffre va protéger la toile, une fois enroulée à l’intérieur ; les bras vont simplement se rétracter sous le coffre. Un store banne coffre intégral va offrir une protection complète au store et à ses bras articulés. Ce type de coffre est en outre plus discret. On s’orientera idéalement vers un store banne coffre intégral motorisé, pour l’ouvrir et le fermer sans effort.
Installez un store banne moderne pour donner du style à votre terrasse, et en profiter à tout moment de la journée !
Le nettoyage des vitres fait partie des corvées que l’on a tendance à remettre à plus tard, car elle peut s’avérer fastidieuse. Parce que nettoyer ses vitres sans traces avec sa raclette devient mission impossible, on se met en quête de l’appareil qui permettra de faire briller ses carreaux efficacement, et sans efforts. Équipement innovant, le robot lave-vitre est plutôt onéreux et bruyant… Mais avez-vous testé le lave-vitre magnétique ? Cet outil malin, destiné à vous faciliter le quotidien, doit être choisi avec soin.
Un outil malin pour laver ses vitres
Qu’est-ce que le lave-vitre magnétique ?
Il s’agit d’un nettoyeur de vitre aimanté, composé de deux raclettes dotées d’aimants, pour adhérer à la surface vitrée. Plus qu’un gadget, c’est un outil malin qui permet de laver les vitres extérieures et intérieures, en même temps. Moins d’efforts, et moins de temps consacré au ménage à la clé !
Il est très pratique pour nettoyer une fenêtre coulissante d’étage, ou toutes vitres extérieures inaccessibles. C’est aussi un outil polyvalent, car il peut être utilisé pour le nettoyage d’autres types de surfaces.
Comment fonctionne-t-il ?
Il suffit de poser chaque partie aimantée de part et d’autre du vitrage, bien en face l’une de l’autre. Le système d’aimant va maintenir les raclettes ensemble contre la vitre. Il convient de répartir un produit ménager sur les surfaces vitrées sales, puis de faire glisser l’une des raclettes le long du vitrage. La raclette située de l’autre côté de la paroi vitrée va reproduire les mêmes déplacements. Cet outil est conçu ou équipé d’accessoires (chiffons microfibres, etc.), pour laver, essorer, et sécher les surfaces. Très maniable, on peut le déplacer dans tous les sens, pour atteindre tous les recoins.
Les critères pour choisir son lave-vitre magnétique
Pour dénicher le meilleur lave-vitre magnétique, plusieurs éléments vont guider votre choix.
La qualité des matières utilisées pour sa fabrication, et particulièrement des parties aimantées, est essentielle. On pourra se tourner vers des marques reconnues, pour s’assurer d’obtenir un bon produit. Songez à vérifier la compatibilité avec vos fenêtres : les aimants doivent en effet être assez puissants, pour s’adapter à l’épaisseur d’un double vitrage. Il faudra en outre choisir une raclette de format adapté aux étendues à laver (baies vitrées ou petites fenêtres). On préférera un modèle maniable et de faible poids, pour ne pas se fatiguer trop vite.
Les produits vendus avec des accessoires seront généralement plus intéressants, car ils sont destinés à simplifier le nettoyage. Certains sont dotés d’un cordon (suffisamment long, de préférence) pour retenir la raclette extérieure, si elle devait se détacher de la vitre. Une perche télescopique pour nettoyer les vitres en hauteur, est également un accessoire adéquat.
Pour vous faire un avis, testez-le, prenez les renseignements utiles auprès d’un professionnel, ou consultez les remarques des consommateurs.
Le prix d’un lave-vitre aimanté
Une large collection de lave vitre magnétique existe, vendue notamment dans les foires, les boutiques consacrées à l’entretien de la maison, ou sur des sites e-commerce. Le coût de ces raclettes aimantées va dépendre principalement de la qualité de leur conception, et des équipements vendus avec le modèle.
Les lave-vitres magnétiques les plus élaborés comprennent divers accessoires, et sont donc plus onéreux. Selon vos besoins, il pourra être plus intéressant de choisir un modèle intermédiaire de lave-vitre aimanté. Cette gamme comporte des modèles à une centaine d’euros. En revanche, les produits à bas prix (moins de cinquante euros), ne donneront pas les mêmes résultats.
Les lave-vitres magnétiques sont donc des outils de nettoyage efficaces et polyvalents, destinés à vous simplifier le ménage.
À la fois sièges et lits, pour s’asseoir, se relaxer, ou se coucher, les canapés convertibles sont des meubles polyvalents. Alliés de l’aménagement intérieur et de l’optimisation d’espace, ils se déclinent en plusieurs modèles. Comment choisir un canapé convertible ? Au-delà de l’esthétique, le choix porte avant tout sur l’aspect fonctionnel. Selon les besoins en couchage d’appoint ou quotidien, le type de canapé, le confort du matelas, et le mécanisme d’ouverture seront déterminants. Alors, plutôt Clic-Clac ou canapé-lit ? Quatre critères majeurs sont à prendre en compte :
1. Choisir un canapé convertible selon ses besoins
En fonction de l’espace disponible
Dans une petite pièce, il sera d’autant plus important de tenir compte des dimensions du canapé, avant et après ouverture, car il occupera plus de place une fois déplié. Si l’on manque d’espace, on s’orientera vers un petit canapé convertible. En outre, la taille du couchage va dépendre du nombre de personnes que le lit est destiné à accueillir.
Pour un couchage quotidien
Quel canapé convertible choisir pour un couchage quotidien ? Le canapé-lit : ce type de canapé est convertible en vrai lit, idéal pour un usage de tous les jours. Son matelas est distinct du dossier et de l’assise, et situé sous cette dernière. Il est plus confortable qu’une banquette-lit.
En meuble d’appoint
Les banquettes qui se transforment en lit d’appoint sont une solution plus économique que le canapé-lit. Leur matelas plié forme à la fois le dossier et l’assise du canapé, il n’est pas indépendant, à l’inverse du canapé-lit. Il a donc tendance à être moins résistant sur la durée, bien que l’ensemble soit recouvert d’une housse. La banquette-lit est donc plutôt destinée à une utilisation occasionnelle, et elle se décline en plusieurs modèles : Clic-Clac, BZ et futon.
Quelle est la différence entre un BZ et un Clic-Clac ? Le canapé BZ a un mécanisme d’ouverture en accordéon, avec son matelas replié en trois. Le Clic-Clac, en plus du couchage et de la position assise, offre une inclinaison intermédiaire pour la détente. Le matelas s’ouvre en deux parties, comme un livre. Le futon, en version convertible, offre un couchage près du sol, doté d’une fermeté plus importante que les matelas des autres banquettes.
Outre les modèles évoqués, on trouve des canapés convertibles comportant un seul accoudoir (méridienne), et des chauffeuses qui se déplient pour former un couchage directement au sol. Parmi les structures atypiques, on pensera aussi à l’armoire-lit-sofa ou encore le canapé multifonctions. Le canapé convertible lit gigogne comporte un matelas dans un tiroir situé sous l’assise. Certains canapés-lits gigognes permettent de laisser sa couette à l’intérieur, pour que le lit reste fait en permanence.
2. Définir la densité du rembourrage pour un meilleur confort
Pour obtenir un canapé convertible confortable et douillet, il faudra prêter attention au rembourrage de son dossier et de son assise. La majorité des canapés sont constitués de mousse de polyuréthane, de densité variable. Parmi les mousses de polyuréthane, la mousse de polyéther est moins qualitative ; sa densité est en moyenne de 25 kg/m3. Une mousse haute résilience sera plus dense ; elle dépasse les 35 kg/m3. Elle est aussi plus performante, résiste mieux dans le temps, et est donc à privilégier pour un usage fréquent.
Une densité plus importante offrira généralement plus de fermeté, mais elle doit être considérée avec d’autres caractéristiques techniques comme la portance, l’épaisseur, et les suspensions. Le mieux, si possible, sera d’essayer le canapé : une assise trop molle, qui s’affaisse, et de laquelle on peine à se lever, n’offrira pas un confort optimal. On recherchera une assise plus ferme. À noter : la mousse de garnissage sera de préférence plus dense au niveau de l’assise que du dossier.
Les canapés convertibles design ont généralement un dossier bas. Pour un meilleur soutien du dos, il faudra préférer une hauteur plus importante au niveau du dossier. Des appuis-tête sont également une solution pour maintenir la nuque.
3. Privilégier un bon matelas pour un couchage quotidien
Pour choisir un canapé confortable, on privilégiera également la fonction couchage. Il conviendra donc de s’orienter vers un canapé convertible avec un matelas de qualité comme vous pourrez en consulter ici.
Un matelas selon sa morphologie
L’épaisseur du matelas est déterminante, pour un couchage de tous les jours, et pour éviter le mal de dos. Il pourra être moins épais (moins de 15 cm), pour un usage occasionnel. Il faudra au contraire privilégier les matelas de plus de 15 cm d’épaisseur, pour une utilisation journalière.
La densité est également à considérer pour obtenir un couchage ferme ; elle ne devrait pas être inférieure à 60 kg/m3, et ne pas dépasser 85 kg/m3, pour un confort optimal. Il faudra déterminer la densité adaptée à son gabarit. Un matelas plus dense (85 kg/m3) conviendra aux personnes de grande taille et/ou à forte corpulence. Une densité intermédiaire (moins de 85 kg/m3) sera appropriée pour les gabarits moyens. Les plus petites morphologies s’orienteront vers un matelas offrant plus de souplesse (moins de 75 kg/m3).
Une composition de qualité pour son matelas
Les mousses de polyuréthane entrent très souvent dans la composition des matelas ; elles présentent en effet plusieurs avantages. Elles offrent un confort à la fois ferme et souple, en plus d’être une matière respirante. Un matelas à mémoire de forme sera encore plus confortable, car il est constitué d’une mousse plus performante. Celle-ci est toutefois dotée d’une moins bonne aération, et donc moins adaptée en cas de transpiration abondante. Si l’on recherche une matière naturelle, plus aérée, limitant les réactions allergiques, et procurant une certaine fermeté, on s’orientera vers le latex.
4. Opter pour un mécanisme d’ouverture simplifié
Le système d’ouverture du canapé doit être facilité, particulièrement en cas d’utilisation quotidienne. Un lit qui se déplie et se replie facilement, constitue un gain de temps non négligeable.
Ouvrir ou plier un Clic-Clac se fait simplement par basculement du dossier ou de l’assise, la structure étant en deux parties. Le BZ va s’ouvrir en tirant vers l’avant, pour déplier les trois parties de la structure. Les systèmes électriques ne nécessitent aucun effort, car l’ouverture est automatisée via une télécommande. Certains canapés convertibles s’ouvrent, sans qu’il soit besoin de retirer les coussins d’assise ou du dossier. Ces types de mécanismes d’ouverture et de fermeture qui requièrent peu de manipulations, sont à privilégier pour un usage quotidien.
Le confort et la simplicité d’utilisation sont donc des critères essentiels, pour choisir un canapé convertible. Une fois que vous aurez déterminé le type de canapé qui vous convient, l’esthétique, voire les options de rangement, seront à considérer. Autre point important à ne pas oublier avant l’achat est l’entretien du canapé, selon les matières choisies, vous pouvez poursuivre votre lecture avec notre article comment nettoyer un canapé en tissu ?
L’automne s’annonce déjà ! Au lieu d’être tristes, pensez à vous réjouir en renouvelant vos assiettes !
Si vous voulez commencer un jardin biologique ou simplement continuer à cultiver vos propres légumes, nous vous disons ce que vous pouvez planter ou semer à l’automne. A cette époque de l’année, nous aurons récolté pratiquement tous les fruits et légumes du printemps et de l’été et il est temps de semer les légumes d’automne. Nous pouvons commencer par préparer nos propres pépinières (nous recommandons l’utilisation de semences biologiques) ou par acquérir des plants déjà préparés et les transplanter simplement (cette deuxième option est la plus rapide et nous assure une meilleure viabilité de survie des plantes). Pendant cette période de l’année, les températures chutent par rapport à l’été, il y a plus de vent, les jours sont plus courts et il y a donc moins de lumière et plus de pluie. Dans les régions où il y a beaucoup de vent (surtout du nord) et/ou de gelée, il peut être judicieux de cultiver des légumes automne qui peuvent être moins résistants dans une serre ou sous plastique. Il peut également être une bonne idée d’ajouter des arbustes à votre jardin pour servir de brise-vent. Gardez à l’esprit que pour certains légumes (comme les blettes, le chou ou la citrouille, etc.) il existe des variétés d’été, d’automne, d’hiver… choisissez celui qui convient à chaque saison de l’année, vous pouvez consulter également notre article sur le calendrier du potager: janvier, février, mars
Voyons quelles plantes peuvent résister aux températures froides et humides, caractéristiques de l’automne.
Pourquoi opter pour les légumes de saison ?
Les raisons pour lesquelles il est conseillé de manger des légumes de saison sont nombreuses, surtout si ces derniers sont semés bio, par vous-même. En voici quelques-unes :
Un meilleur goût :
Cueillis à maturité et cultivé selon leur cycle naturel, les légumes de saison ont un meilleur goût plus riche en saveurs.
De bonnes sources de nutriments :
Manger les légumes de saison offre aux consommateurs un maximum de nutriments, étant donné qu’il existe quelques-uns qui se détériorent quelques jours après leur cueillette suite à l’oxygène et la lumière auxquelles ils s’exposent, et perdent ainsi plusieurs vitamines.
Des légumes écologiques :
Qui dit manger de saison, dit l’absence de l’utilisation d’engrais chimiques ainsi que l’absence de serres, tout en cultivant les légumes d’une manière traditionnelle, ce qui implique la réduction de l’impact environnemental.
Un prix moins cher :
Acheter des légumes de saison se révèlent être à prix bas, étant donné qu’ils sont produits localement, sachant qu’ils ne nécessitent pas de transport coûteux, et par conséquent, c’est économique !
Un soutien considérable des agriculteurs locaux :
Manger des légumes de saison implique automatiquement la favorisation de l’économie locale, ce qui représente un geste de solidarité envers les agriculteurs.
23 Légumes à planter en automne
1-La Blette :
C’est un légume à feuilles vertes qui ne peut manquer dans la cuisine. Si vous vivez dans une zone climatique tempérée pratiquement toute l’année, vous pouvez planter des blettes.
Placez ce légume à la fois en plein soleil et à mi-ombre, dans les deux cas il s’adapte très bien. Mais si vous allez cultiver des blettes dans des régions où il fait froid, il est préférable de la laisser jusqu’à la fin de l’hiver ou de la faire dans des serres.
Dans un délai de 50 à 60 jours, vous serez prêt à récolter vos blettes biologiques.
2 – L’ail :
Au milieu de l’automne, nous pouvons commencer à semer de l’ail.
Il s’agit d’un type de culture très peu exigeant, il convient donc parfaitement aux personnes qui débutent dans l’horticulture ou à celles qui ne peuvent pas consacrer beaucoup de temps à leur jardin.
Nous avons simplement besoin d’une gousse d’ail que nous introduirons dans un petit trou d’environ 4 cm de profondeur que nous ferons dans le sol.
Nous pouvons cultiver l’ail aussi bien directement dans le sol que dans des conteneurs, des pots et des tables de culture.
3 – La Bourrache :
La culture commence généralement par un semis direct. C’est un légume peu exigeant en termes de besoins en macro et micronutriments dans le sol de culture et peut résister assez facilement à l’hiver.
Il laisse un cadre de plantation d’environ 40 cm pour permettre aux plantes de se développer.
Essayez de placer vos plants de bourrache en plein soleil pour obtenir de meilleures récoltes et garder le sol avec un certain degré d’humidité constante.
Un grand avantage de la culture de la bourrache dans notre verger est que ses belles fleurs attirent les abeilles, l’un des principaux pollinisateurs.
De la bourrache nous pouvons consommer ses fleurs, ses feuilles et ses tiges.
4 – Le Brocoli :
Pour obtenir une récolte échelonnée, vous pouvez semer ou repiquer à une ou deux semaines d’intervalle.
Normalement, le brocoli est semé dans un lit de semence et après environ 50 jours, il est habituellement transplanté.
Pour ce type de culture, il est préférable que le sol ait un pH d’environ 6,5 car ils ont une prédilection pour les sols avec une certaine acidité.
Il est important que le sol soit riche en matière organique car, en ce sens, c’est une culture exigeante.
Veillez à ce que l’arrosage soit suffisant et régulier, surtout pendant le développement de la motte.
5 – La Citrouille :
Un légume très polyvalent dans la cuisine qui vaut la peine d’être cultivé nous-mêmes.
Pour faciliter et accélérer la germination des graines de citrouille, laissez-les dans un linge humide 48 heures avant le semis. Évitez l’excès d’eau lors de l’arrosage, car la citrouille pourrait pourrir.
Pour que les citrouilles poussent dans toute leur splendeur, placez-les dans un endroit qui reçoit directement le soleil et essayez d’éviter l’ombre.
6 – La Mâche :
Elle s’intègre très bien dans les salades et font partie des légumes à feuilles vertes que l’on peut cultiver aussi bien directement en pleine terre que dans des récipients et des tables de culture.
Il est important de s’assurer de garder le sol suffisamment humide et qu’il ait un bon apport en matière organique, car il a besoin de sols riches en nutriments.
Placez la mâche dans un endroit ensoleillé, car elle pousse mieux lorsqu’elle est bien exposée au soleil.
Dans seulement 50 à 60 jours, nous serons prêts à récolter notre mâche biologique.
7 – L’Oignon :
Il existe de nombreuses variétés d’oignons, choisissez ceux que vous préférez et les mieux adaptés au climat de la région où vous allez semer les oignons pour obtenir de meilleurs résultats.
Il est important de les arroser régulièrement, de veiller à ce qu’ils n’aient pas trop d’eau et de les placer dans un endroit bien exposé au soleil, bien qu’ils puissent normalement s’adapter aux endroits semi-ombragés.
Selon la variété d’oignon que nous semons, nous pourrons commencer la récolte entre 60 jours et 120 jours.
8 – Le Chou rouge :
C’est un type de culture qui nécessite un sol riche en matière organique, pour cela vous pouvez incorporer de l’humus de vers ou du compost au sol de culture.
C’est un légume très sensible à la sécheresse, il serait bon d’utiliser l’irrigation goutte à goutte ou l’exsudation pour s’assurer que l’humidité du sol est optimale et constante sans gaspillage d’eau.
Les choux ont besoin d’une bonne exposition au soleil, la lumière directe améliore leur développement.
9 – Le Chou-fleur :
Les graines de chou-fleur prennent très peu de temps à germer, elles n’ont besoin que d’une semaine. Cependant, maintenez les plantules à une température moyenne de 14ºC.
Le chou-fleur est une culture qui exige beaucoup d’eau. Il aura besoin d’un arrosage généreux et abondant. Évitez de faire pousser des choux-fleurs si vous êtes dans un endroit sec et peu pluvieux.
Afin d’éviter que le chou-fleur n’ait un goût amer dû à l’exposition au soleil, il est important de le couvrir de feuilles. C’est pourquoi il est préférable de le cultiver à mi-ombre.
10 – Le Panais :
C’est un légume-racine qui résiste bien au froid et sa culture ne pose généralement pas beaucoup de problèmes, c’est donc un bon légume à cultiver si vous commencez dans le monde de l’horticulture.
Avec le panais, nous pouvons opter pour le semis direct et nous pouvons aussi préparer des lits de semis ou des plantules.
Étant un légume-racine, nous devons nous assurer que le sol a une bonne profondeur est bien aéré et spongieux, qu’il n’y a pas de mottes et qu’il n’y a pas de pierres ou de gros morceaux de terre qui peuvent nuire au développement du panais.
11 – L’Endive :
C’est un légume feuillu vert qui résiste assez bien aux basses températures de l’automne.
Avec l’endive, nous pouvons préparer les plantules, mais aussi les acquérir et les transplanter directement. Choisissez l’option qui répond le mieux à vos besoins.
Pour qu’elle pousse bien, laissez au moins un cadre de plantation pour l’endive de 40 cm x 40 cm. De cette façon, nous laissons assez d’espace pour chaque endive et elle peut recevoir un meilleur ensoleillement.
En 80 à 90 jours environ, vous pouvez récolter votre endive.
12 – Les Épinards :
Un autre légume à feuilles vertes idéal pour la culture à cette période de l’année.
Maintenir un arrosage régulier pendant la culture des épinards, éviter l’engorgement d’eau car il est particulièrement sensible à l’excès d’eau. Un autre facteur influençant la stagnation de l’eau est la capacité de drainage du sol. Les épinards sont parfaits pour la culture en pots et sur des tables de culture.
Plantez les épinards dans un endroit bien éclairé où ils reçoivent directement la lumière du soleil.
En seulement 45 à 55 jours, nous pouvons récolter nos épinards biologiques.
13 – Les pois :
Il n’est pas nécessaire de préparer les plantules, nous les sèmerons donc directement dans leur site de culture final.
Si vous avez peu d’espace pour votre jardin, les légumineuses comme les pois sont parfait car ce sont des cultures verticales qui ne prennent pas beaucoup de place.
Il est nécessaire de donner des cours particuliers aux plantes pour qu’elles poussent droites et qu’elles reçoivent le soleil sur toute leur surface.
Cela peut être une plante sensible au gel, il faudra donc la protéger si vous vivez dans une zone froide ou alors reporter sa culture à la fin de l’hiver.
14 – Les Haricots :
Je choisis habituellement de planter les haricots directement sur leur site de croissance final au lieu de préparer les plantules.
Je laisse un espace d’environ 30 cm entre deux graines.
Si vous n’arrosez pas assez (n’inondez pas non plus), vous le remarquerez parce que les plantes donnent peu de gousses ou parce qu’elles sont plus petites et leurs graines aussi.
Veillez à ce que le sol soit meuble, sans grumeaux, riche en matière organique et bien profond.
Comme les pois, les haricots ont besoin d’aide afin de recevoir une bonne lumière pendant leur croissance et pour que l’air puisse circuler entre les plantes.
Il est intéressant de cultiver des légumineuses dans le jardin parce qu’elles aident à fixer l’azote dans le sol et rendent plus bénéfique, entre autres choses, la culture ultérieure de légumes qui ont des besoins élevés en azote.
De 120 à 140 jours, vous pouvez récolter vos haricots biologiques nutritifs et les déguster dans vos plats préférés.
15 – La Laitue :
L’une des options pour cultiver la laitue est de la semer. L’autre option est de la cultiver à partir de la semence. Qu’elle soit cultivé en pleine terre directement ou en pots ou sur des tables de culture, elle laisse un cadre de plantation d’au moins 20 centimètres sur 20 centimètres.
Arrosez régulièrement le sol toujours avec un peu d’humidité. Le paillis ou le paillis peut s’avérer utile.
Selon la variété de laitue que nous semons et les conditions de croissance, dans environ 50 à 60 jours, vous pouvez déjà récolter de la laitue biologique.
16 – Les Navets :
Il existe des variétés qui résistent très bien aux conditions automnales et hivernales.
Commencez par cultiver le navet par semis. Laissez un cadre de plantation d’environ 12 cm.
Cette culture est exigeante en termes d’irrigation.
Ne jetez pas les feuilles car elles sont comestibles et très nutritives. Vous pouvez les cuire de la même façon que les épinards, et même les utiliser dans vos recettes de cuisine.
17 – La Pomme de terre :
Même dans des pots et des sacs, nous pouvons cultiver des pommes de terre biologiques. Mais veillez à ce qu’ils aient une profondeur d’environ 60 cm.
Le sol doit être meuble, bien tamisé et sans morceaux de terre ou de pierres pour permettre le développement de ce tubercule.
Essayez de garder le sol toujours avec un peu d’humidité (humide, pas humide) et placez les plantes dans un endroit où elles reçoivent la lumière du soleil.
Selon la variété de pommes de terre que vous semez et les conditions de croissance, après 12 semaines, vous pouvez commencer à récolter vos pommes de terre biologiques.
18 – Les Poireaux :
Choisissez l’une des variétés de poireaux à cultiver en automne et en hiver.
Il est possible à la fois de les semer directement et de préparer les plantules et de les repiquer plus tard.
Ils n’ont pas besoin de beaucoup d’espace pour leur culture et vous pouvez les cultiver dans des pots ou des tables de culture qui ont une profondeur minimale de 30 cm. Laisser un cadre de plantation de 30 cm x 30 cm entre les poireaux.
Comme il s’agit d’une culture qui exige beaucoup d’azote, il cultive le poireau au même endroit que celui où vous avez semé les légumineuses auparavant.
Dans une période de 100 à 120 jours, vous commencerez à récolter vos poireaux écologiques.
19 – Les Radis :
C’est une culture très courante dans les jardins urbains parce qu’elle pousse très bien dans les conteneurs et les tables de culture en raison du peu d’espace dont elle a besoin.
Elles sont aussi assez rustiques, il suffit donc de tenir compte de quelques points fondamentaux, comme le maintien d’un arrosage régulier pour éviter qu’elles ne se fissurent.
Faites le semis direct là où vous voulez cultiver vos radis, vous n’avez pas besoin de préparer les pépinières ou les plantules.
Semer les radis en quinconce afin d’avoir une réserve de radis pendant plusieurs semaines d’affilée.
En seulement 30 jours, nos radis biologiques sont prêts à être récoltés.
20 -Les Radis végétal :
Il existe de nombreuses variétés de radis et il en existe sûrement une qui s’adapte le mieux au climat de la région où vous allez les cultiver.
On peut commencer par le semis direct des graines de radis. Si vous les cultivez en pots ou sur des tables de culture, ils doivent avoir une profondeur minimale de 20 cm.
Selon la variété de radis et les conditions idéales de croissance, vous pouvez déguster des radis biologiques en 30 jours environ.
21 – Les Betterave rouge :
Une autre des cultures courantes dans les vergers urbains et les vergers en pots.
Comme pour les légumes-racines, les tubercules et les bulbes, il faut veiller à ce que le sol ait un bon drainage de l’eau afin qu’elle ne s’accumule pas et ne pourrisse pas.
Placez les betteraves en plein soleil et empêchez-les d’être à l’ombre d’autres plantes.
Selon la variété de betterave et les conditions de culture, après 90 jours, vous pourrez commencer à récolter des betteraves biologiques.
22 – La Roquette :
Un légume feuillu vert qui est principalement utilisé dans les salades, mais peut aussi être ajouté aux recettes de pâtes et de pizzas où il a fière allure.
C’est un type de culture idéal pour les pots, les conteneurs et les tables de culture car il ne nécessite pas un grand cadre de plantation et nous pouvons faire bon usage du peu d’espace dont nous disposons.
Elle résiste aux basses températures et n’est pas une culture exigeante en termes de sol.
En seulement 30 ou 40 jours, vous pouvez commencer à récolter votre roquette biologique et en profiter à votre guise.
23 – Les Carottes :
Le semis direct des graines de carotte donne généralement de meilleurs résultats que les plantules parce qu’elles ne résistent pas bien aux transplantations.
Le sol doit être bien travaillé et exempt de mottes et de cailloux qui pourraient nuire à la croissance de la carotte.
C’est un légume-racine que l’on peut semer sans problème dans des pots et des tables de culture d’une profondeur de 30 cm. Il laisse un espace de 10 cm entre la graine et la graine.
Essayez d’éviter un arrosage excessif parce qu’ils peuvent pourrir les carottes et les garder régulières tout au long de la récolte afin qu’elles ne se fissurent pas. Selon la variété de carottes que vous cultivez, vous pouvez déjà déguster vos délicieuses carottes biologiques dans un délai de 15 semaines.
Petit bonus : Vous trouverez dans la vidéo ci-dessous comment préparer le sol pour commencer à semer en automne.
Plier et ranger son linge correctement peut vite devenir compliqué. Si vous vous êtes déjà battu avec vos draps ou vos couettes pour les faire entrer dans votre placard, ou que vous les ressortez systématiquement froissés, lisez bien ce qui va suivre. Pliage, rangement et qualité du tissu : nous avons réuni toutes les astuces et les conseils utiles pour avoir un linge de lit impeccable.
4 astuces pour plier votre linge de maison
Le point commun des méthodes que nous avons réunies ? Le gain de place et la garantie de draps non fripés. Car un linge de lit mal plié, c’est des armoires qui débordent et des lits à l’apparence bien triste. Attention, un lavage adapté à votre tissu est le préalable pour que votre linge de lit puisse être plié et conservé dans les meilleurs conditions, vous pouvez jeter un oeil à notre article sur les symboles de lavage présents sur les étiquettes du linge.
Le drap-housse
C’est le pire de tous. Les plus impatients d’entre vous en font un boudin informe, et les plus méticuleux le plient en le repassant. Marie Kondo, la reine du rangement optimisé, a une méthode très simple :
prenez un coin du drap dans votre main en veillant à ce que la couture soit à l’envers et donc apparente ;
placez le coin suivant sur la même main, mais couture à l’endroit, cette fois-ci ;
répétez l’opération, soit, un coin à l’envers, un coin à l’endroit ;
posez le drap à plat et pliez-le en trois dans le sens de la longueur ;
pliez-le en deux. C’est fait vous avez un drap-housse parfaitement plié qui, rangé sur la tranche, ne prendra que peu de place dans un tiroir.
La couette
Elle est difficile à caser quand elle est mal pliée, et le faire correctement est un casse-tête, pourtant, voici une méthode infaillible :
la couette étendue devant vous, rabattez une partie dessous, de la largeur d’un oreiller ;
pliez-la en trois, dans le sens de la longueur ;
pliez-la en quatre, dans le sens de la largeur ;
utilisez le rabat pour l’y ranger. Votre couette prend désormais la place d’un oreiller très épais et ne risque plus de glisser !
Vous êtes pressé ou cette méthode ne vous convient pas ? Vous ne trouverez pas plus simple que celle-ci :
pliez la couette en trois dans le sens de la largeur ;
roulez-la pour former un joli boudin ;
nouez-la avec des rubans ou des élastiques.
Suivez ces astuces pour vos couettes, vos couvertures et vos édredons. Pensez également aux rangements sous-vides, le gain de place est considérable et si tout est bien plié, vous retrouverez tout dans un état impeccable la saison froide revenue.
Les parures de lit
Elles finissent toujours par se mélanger. Il y a pourtant une astuce très simple et redoutable d’efficacité ! Une fois tous les éléments bien pliés, rangez-les dans une des taies d’oreiller. Vos placards auront l’air plus en ordre et vous aurez toujours les ensembles assortis à portée de main.
4 astuces pour ranger votre linge de maison
Les draps, les édredons, les couvertures… tout prend beaucoup de place, même parfaitement plié. Que diriez-vous de quelques astuces rangement ?
Utilisez des corbeilles. Profitez-en, il en existe des centaines et de tous les styles. Rotin, coton, bambou, tricot, papier, jonc… vous trouverez forcément celle qui s’accordera avec votre intérieur. Transformez une corbeille à linge en objet de décoration dans votre chambre à coucher, et déchargez vos armoires ;
Si la place le permet, offrez-vous une jolie petite commode de salle de bain pour y ordonner votre linge de lit à l’abri de l’humidité. C’est pratique et ça donnera une touche cosy à votre pièce ;
On trouve désormais de nombreuses boîtes de rangement qui se glissent facilement sous les lits. Elles sont discrètes, esthétiques et vous feront gagner énormément de place ;
Vous avez une buanderie ? Prenez le temps d’en optimiser l’espace. Posez des étagères et détournez des placards de cuisine ou de salle de bain pour y stocker votre linge.
Choisissez des matières de qualité
C’est notre dernier conseil, et peut-être le plus important. Essayez par exemple, la percale de coton, qui sèche extrêmement vite, ou le lin lavé, qui ne nécessite pas de repassage. Non seulement, vous gagnerez en confort, mais l’entretien de votre linge de lit sera plus simple, son pliage sera plus agréable et son rangement sera facilité. C’est un investissement, mais vous serez gagnant sur le long terme, car les belles matières sont résistantes et le restent pendant des années.
Les rideaux et les voilages n’ont pas pour seule fonction d’habiller une fenêtre, ils constituent aussi un véritable élément décoratif. Comment choisir ses rideaux et voilages ? Il existe un large choix de rideaux ; au-delà de l’aspect esthétique, il faudra définir leur taille. Comment poser un rideau ? Comment faire un ourlet, pour un tomber de rideau parfait ? Nous levons le voile sur ces questions, pour vous aider à y voir plus clair :
Comment choisir ses rideaux ou voilages ?
En fonction de ses besoins
Un rideau est plus ou moins occultant, le voilage joue sur la transparence et laisse passer plus de lumière. Le rideau sera la meilleure solution contre le vis-à-vis d’une fenêtre. On pourra également installer un voilage tamisant pour voir sans être vu. Certains rideaux ont des doublures aux propriétés techniques (thermique ou phonique). On pourra aussi choisir de poser deux rideaux différents sur la même tringle : un voilage et des doubles-rideaux.
Selon le type de tissu
Le polyester est transparent, ou tamise la lumière ; son entretien est facilité. Du côté des matières naturelles, le coton filtrera mieux la lumière qu’un tissu transparent. Le lin donne un style raffiné, mais son principal inconvénient est le froissage. Les tissus mixtes (polylin, polycoton) bénéficient au contraire d’un entretien simplifié, tout en gardant une apparence naturelle. Pour un rendu simple et authentique, le métis (en lin et coton) est un bon choix.
D’après le style de la pièce
Stores, voilages et rideaux constituent la dernière touche décorative, pour définir l’ambiance d’une pièce. On les assortira généralement aux teintes des murs et des meubles. Quelle couleur de voilage ou de rideau choisir ? Des teintes claires apportent de la lumière et un sentiment d’espace. Pour une ambiance plus intimiste, les coloris foncés sont à privilégier. Des rideaux/voilages colorés et/ou à motifs originaux viendront rehausser le style d’une pièce, à la décoration sobre ou peu présente.
Comment installer ses rideaux et voilages ?
Choisir un support adapté
Il existe différentes façons d’accrocher des rideaux. On pourra fixer une tringle de rideau au mur, au plafond, ou entre deux murs. Pour supporter des rideaux d’un certain poids, la barre doit être solide. Un support supplémentaire devra être installé, pour soutenir la tringle d’une baie vitrée de plus de deux mètres de large. Une tringle extensible s’adaptera aux fenêtres non standards. Comment poser un voilage et des doubles-rideaux ? En installant un rail double, ou une double tringle. Pour définir une zone dans une pièce, on pourra accrocher ses rideaux (de faible poids) à un câble en métal.
Prendre les bonnes mesures
Il s’agit de déterminer la taille du rideau (longueur, largeur), ou les dimensions du voilage. La tringle de rideau devra être plus large (d’une vingtaine de centimètres) que la fenêtre à habiller. Selon le type de fixation, soit on mesure la tringle de rideau (fixation murale ou au plafond), soit la distance entre les deux murs qui la supportent. La largeur du rideau devra être entre 1,5 et 2 fois plus importante que celle de la tringle. Les voilages ou tissus fins pourront mesurer 2,5 fois la largeur de la barre de rideau.
À quelle hauteur fixer une tringle à rideaux ? De préférence à 50 mm au-dessus de la fenêtre. Pour définir la hauteur d’un rideau à ruflette, on prendra la mesure entre le bas de la tringle et le sol. Pour poser des rideaux à œillets, il faut prendre la hauteur entre la tringle et le sol, et prévoir 30 mm supplémentaires.
Où trouver des voilages et rideaux originaux ? Beaucoup de magasins de bricolage proposent des gammes de tissus d’ameublement dans leurs rayons décos. Si vous n’êtes pas convaincu ou bien si vous recherchez quelque chose d’original et tendance, des enseignes spécialisées en boutique ou sur internet proposent un large choix de rideaux et voilages du plus classique ou plus excentrique. Enfin autre solution, le sur-mesure. De plus en plus de professionnels proposent des offres de rideaux et sur-mesures aux dimensions souhaitées, la qualité du façonnage n’est pas sacrifié et on peut facilement trouver des matières originales, des tissus imprimés tendance ou des velours doublés.
Comment réaliser un ourlet pour un parfait tomber de rideau ?
À chaque style son tomber de rideau
À quelle hauteur installer des rideaux ? Le rideau à ras du sol (tomber rasant) est le plus moderne. Un rideau plus court (tomber net), à environ 10-20 mm du sol, sera plus traditionnel. Il simplifie le nettoyage du sol (idéal dans une cuisine). Les rideaux doivent-ils toucher le sol ? Oui, pour un tomber cassant (le rideau est en moyenne plus long de 30-50 mm), qui offre un style raffiné. On pourra également relever les rideaux à l’aide d’embrasses.
Faire un ourlet pour raccourcir ses rideaux
Il convient en premier lieu de s’assurer que la longueur du rideau est uniforme. Le tomber de rideau souhaité définira la taille de l’ourlet à réaliser.
Pour un ourlet cousu à la main, on replie le rideau à deux reprises sur l’envers, et on mesure l’ourlet. On veillera à épingler, pour maintenir le tissu en place. À l’aide d’un fer à repasser, on marque le pli, puis on réalise des petits points réguliers. On procédera de la même manière, pour réaliser un ourlet à la machine à coudre. Tout au long de la couture, on veillera à sa régularité, pour obtenir un ourlet bien droit. Sur un voilage, on fera un ourlet de bord à bord à la machine à coudre, afin qu’il ne soit pas visible à travers le tissu.
Le thermocollant ne nécessite pas de points de couture : il permet de fixer un ourlet à l’aide d’un fer à repasser.